PHOTOS - La folie du Loup de Wall Street en 20 images
Le jeté de homard
De manière beaucoup plus consciente, c'est un homard, symbole du luxe, qu'il balance sur les flics venus l'emmerder avec leurs questions sur son yacht.
Le poing sur le coeur
Après presque deux minutes d'un montage épileptique, la caméra s'arrête plusieurs longues secondes sur McConaughey qui bat la mesure et fredonne en se tapant du poing sur le torse en plein restaurant, incitant Leo a faire de même. Concours de folie, donc.
La maison du bonheur
Et des soirées; de jour comme de nuit.
Un singe au bureau
Parce que les chiens c'est pour les pauvres.
L'explosion
Quelques plans sur le visage de DiCaprio promettent le basculement dans la folie.
Le casual friday
Ceci est une fête de bureau.
Le lancé de nain
Les gens riches s'ennuient. Du coup ils lancent des nains.
L'argent sale
Trader ou mafieux ? Ce plan sur Leo qui vide son coffre et remplit un sac de liasses de billets brouille les frontières.
Le spring break
Leo est (encore) le roi du monde.
La pluie de dollars
Et pour bien signifier son mépris, il jette littéralement l'argent par les fenêtres - par le pont de son bateau, très exactement.
Folie et démesure du Loup de Wall Street
Lancé de nain, pluie de billets verts, homards et cocktails qui volent, filles habillées de dollars, fêtes, cris et conversations absurdes... La première bande annonce du Loup de Wall Street, avec Leonardo DiCaprio en maître enragé de cérémonie, est surexcitante, promet un film de tous les excès et laisse penser que Scorsese, en adaptant la biographie d'un ancien trader multimillionnaire passé par la case prison, a lâché les chiens.La preuve en 20 arrêts sur image.
Le jeu sado-maso
Ce talon dans la gueule laisse imaginer que la sexualité aussi sera débridée.
La femme-billets
A la manière d'un terroriste recouvert de plastique pour se faire sauter, les traders recouvrent le corps de cette femme de billets. Une version extrême de la femme-objet.
La poudre aux yeux
Niveau démence, il risque d'y avoir compèt avec le personnage de Matthew McConaughey, qui plane très au-dessus des lois du marché et explique à Leo que tout ça n'est de toutes façons qu'illusion.
Le lancé de cocktail
Avec une nonchalance confondante, le héros balance son verre encore plein dans un beau geste de je-m'enfoutisme.
La folie des grandeurs
Leo incarne un type qui, l'année de ses 26 ans, a gagné 49 millions de dollars. Et ça l'a fait chier. A 3 millions près, ça faisait un million par semaine. Jeunesse + extrême richesse + insatisfaction = pétage de plombs assuré.
Le poisson vivant
Une fête de bureau qui dérape ?
La chute
On l'avait dit. Ca ne pouvait que mal finir. Et l'atterrissage sera raide.
Le déhanché
Le Loup de Wall Street ou Gatsby le magnifric ?
L'argent facile
Ceci est une poubelle remplie de billets.
Le hors-la-loi
Les millions ne suffisent pas. Encore faut-il que l'argent soit sale. Face caméra, le héros annonce direct la couleur : il est jeune, riche, et hors-la-loi. Ca ne peut que mal finir.
Lancé de nain, pluie de billets verts, homards et cocktails qui volent, filles habillées de dollars, fêtes, cris et conversations absurdes... La première bande annonce du Loup de Wall Street, avec Leonardo DiCaprio en maître enragé de cérémonie, est surexcitante et promet un film de tous les excès et laisse penser que Scorsese a lâché les chiens.La preuve en 20 arrêts sur image.
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