L’acteur et réalisateur français revient ce week-end en Napoléon sur C8.
Ben Stiller repassera encore La Nuit au musée, dimanche soir, avec la rediffusion sur la huitième chaîne du deuxième épisode, sorti en 2009 au cinéma. Première vous le conseille, surtout pour ses seconds rôles, tous brillants d’Owen Wilson à Robin Williams en passant par les petits nouveaux Alain Chabat et Hank Azaria.
L’histoire de cette suite ? Larry Daley, un rêveur à qui la chance sourit enfin, fait ses adieux à ses amis du musée, remplacés par des hologrammes destinés à rendre le musée d'Histoire naturelle plus interractif. Eux-mêmes sont envoyés aux archives nationales, à Washington, avec la tablette d'Ahkmenrah, qui donne vie aux mannequins exposés. Larry va devoir leur prêter main forte pour affronter Kahmunrah (le très redouté cinquième pharaon, frère d'Ahkmenrah), Al Capone, Ivan le Terrible et Napoléon. Au passage, il trouve une alliée inattendue en la personne de l'aviatrice Amelia Earhart, dont il tombe éperdument amoureux.
La Nuit au Musée 2 : L'interview historique d'Alain Chabat, Ben Stiller et Hank AzariaVoici notre critique : "Le premier était génial, le second est encore mieux ! Ben Stiller rempile dans son rôle de gardien de nuit et nous offre un pur divertissement ! Si l’on retrouve avec plaisir les personnages de cire du premier volet (Owen « Jedediah » Wilson et Robin « Roosevelt » Williams, toujours aussi drôles et attachants), une nouvelle bande de méchants leur vole un peu la vedette : Alain Chabat en Napoléon et Hank Azaria en Kahmunrah, le nouveau bad guy, sont ridicules et hilarants à souhait. L’ensemble des seconds rôles a d’ailleurs été particulièrement soigné pour nous offrir un condensé d’humour, du début à la fin. Rien ne vient alourdir le film, pas de morale lancinante et agaçante, et le côté sentimental ne tombe pas dans la minauderie. Même Amy Adams, figure féminine de cette nuit, préfère l’aventure à l’amour… Juste un grand délire fantastique poussé à son paroxysme, une délicieuse avalanche de gags et de parodies. Grâce à un rythme rapide et soutenu, La nuit au musée 2 ne s’essouffle pas et fera rire petits et grands aux éclats."
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