Date de sortie 23 avril 2014
Réalisé par Lisa Azuelos
Avec Sophie Marceau , François Cluzet , Lisa Azuelos
Scénariste(s) Lisa Azuelos
Distributeur Pathé !
Année de production 2014
Pays de production FR
Producteurs Lisa Azuelos
Genre Comédie, Romance

Synopsis

Elsa écrivain, et Pierre, avocat, se croisent lors de la soirée de clôture d’un salon du livre : un regard, un briquet qui change de mains, des rires un peu trop nerveux, le frémissement d’une histoire possible... Une rencontre ?Sauf que la vie de Pierre, c’est d’abord sa famille : ses enfants et Anne (Lisa Azuelos), sa femme depuis quinze ans, celle qui l’aimera toujours, et qu’il aimera toujours, en dépit de la routine et du temps qui passe, il le sait. Elsa, de son côté, se reconstruit peu à peu suite à un divorce compliqué, se partageant entre l’écriture, ses ados qui grandissent trop vite, ses amies et une histoire légère comme l’air avec Hugo, son jeune amant. Pour elle, l’homme marié est un tabou et même pire : une erreur.Pourtant... Dès le premier regard, la rencontre de Pierre et Elsa s’inscrit dans une temporalité différente, comme si présent et futur possible se dédoublaient, s’entrechoquaient... jusqu’à créer une réalité où tout serait possible.

Critiques de Une Rencontre

  1. Première
    par Stephanie Lamome

    On avait laissé Sophie Marceau en plein conflit générationnel avec sa fille, incapable de décrypter un SMS dans LOL, de Lisa Azuelos. On la retrouve pro de Skype, en plein conflit intérieur dans Une rencontre, où elle tombe amoureuse d’un homme déjà pris et, le coeur en vrille, chante à tue-tête Sarbacane de Cabrel au volant de sa voiture. Images en contre-jour, split screen, gros plans sur les bouches, frôlements, froissements, frémissements... Lisa Azuelos essaie de capter le désir à travers des images sophistiquées embuées de sensualité en maintenant le suspense : Coucheront ? Coucheront pas ? Si l’idée d’un film-préliminaire qui ne passerait jamais à l’acte et banderait toujours dur est plutôt bien sentie, Une rencontre se perd dans sa volonté de brouiller les
    pistes en mélangeant fantasme et réalité, présent, passé et futur, et dans son pied de nez final, téléphoné : « Pour qu’une histoire d’amour ne s’arrête jamais, il ne faut pas qu’elle commence. »