The Call

Malgré de légères invraisemblances, ce thriller avec Halle Berry et Abigail Breslin se révèle particulièrement efficace pour les amateurs du genre serial killer.

Téméraire, un thriller vraiment frissonnant, cruel et qui stimule notre matière grise à la fois.

Une intensité si forte que « the call » requiert une visite médicale avant d’entrer dans la salle.

Un thriller haletant.

Du "Crime était presque parfait" à "Cellular", en passant par "Scream", "Phone Game" ou "Buried", le téléphone reste un élément incontournable du thriller contemporain. Preuve en est avec cet épatant polar orchestré par le mésestimé Brad Anderson (Session 9, The Machinist, la série Fringe...). Offrant à Halle Berry l’une de ses meilleures compositions,
The Call ne sort certes pas des sentiers balisés du genre, avec ses outrances, son lot d’'incohérences et une fin un brin décevante. Qu'’importe ! Pris dans un engrenage d’'angoisse et de tension machiavélique, le spectateur se laisse totalement embarquer et n’'a aucune envie de raccrocher.

Un thriller noir sous influence, façon Phone Game ou Blow Out, diablement éfficace.

Une fois terminée, la première partie laisse donc l’auditoire sur sa faim, lui distribuant ça et là des miettes de satisfaction narrative très bis mais aucunement digne de la lancée première.

Un film beaucoup mieux qu’il n’en a l’air.

Le film pèche principalement dans son dernier tiers, plus académique, mais c'est toutefois ce dernier paragraphe qui nous permet d'admirer la Tornade des X-Men courir, transpirer, hurler, mouiller son t-shirt, dégainer, et frapper avec violence. Une petite semaine pluvieuse, un petit plaisir.

Le film tient en haleine mais le scénario se gâche sur la fin.

Le summum de la ringardise mais de la bonne ringardise.

On devrait inventer un logiciel pour scénarios qui détecte lorsqu’ils s’avèrent être complètement ridicule comme celui de « the call ».

Sur un thème archirebattu, le réalisateur parvient tout de même à nous tenir en haleine grâce à une ou deux idées bien exploitées.

Les thrillers qui "marchent", ceux qui donnent des sueurs froides et se regardent les mains moites ne courent pas les rues.

Un thriller sous haute tension qui nous livre les fondamentaux tant attendu.

Un thriller qui tire un peu à la ligne et à l'intrigue téléphonée (...) Réservé aux fans de Halle Berry.

Halle Berry retrouve enfin un rôle à la mesure de son talent grâce à ce polar plutôt bien ficelé et à l'ambiance à couper au couteau. On regrette cependant que la tension retombe dans une dernière demi-heure qui accumule les moments de grands n'importe quoi.

Ce thriller urbain crée une tension dès les premières minutes. L’histoire, qui se déroule en temps réel, relance sans arrêt l’intérêt du spectateur, happé par cette course contre la montre. Malgré un dénouement un peu caricatural, ce regard sur la criminalité ordinaire demeure terrifiant.

Résultat, une course-poursuite, filmée quasiment en temps réel, et un thriller pas vraiment révolutionnaire, mais indéniablement haletant.

Thriller classique à la réalisation inspirée, The Call prouve le talent de technicien de Brad Anderson mais souffre d'un acte final raté et gratuit. Néanmoins, le sens du rythme et la gestion du suspense rattrapent brillament les absurdités scénaristiques

Une ébauche, un sentiment d’inachevé, certes « the call » entretient la tension et vous fera sursauter si toutefois vous décidez d’aller le voir.

Un film d’un niveau intellectuel au ras des pâquerettes et qui suppose également que les spectateurs ont le Q.I. d’un rutabaga.

On retiendra un élément du film : la fin est une surprise de taille puisque qu’on ne s’attend pas à ce qu’elle soit aussi décevante.

Halle Berry a beau être sublime, mieux vaut ne pas être trop pointilleux sur la vraisemblance pour apprécier ce suspense dont le dénouement, qui déroge aux règles les plus élémentaires de la morale et nous renvoie à certains films du regretté Charles Bronson, semble surtout plaqué là pour ouvrir la voie à une nouvelle franchise.

Et le problème c'est que Anderson tente par tous les moyens de démontrer que son film ne ressemble pas aux autres, notamment dans un dernier tiers aussi superflu que gratuit. Dommage pour tout le monde donc, du réalisateur en quête de rédemption artistique à l'actrice Halle Berry totalement impliquée pour les enjeux.

Après une première heure assez efficace, The Call se vautre dans la fange du survival à tendance réactionnaire, tout en accumulant d’énormes invraisemblances. Bancal.

“The call” décide délibérément de se noyer petit à petit dans le bain.