Ses meilleures créations, les plus caractéristiques de son talent, remontent au muet. La Dixième Symphonie (A. Gance, 1918), la Fête espagnole (G. Dulac, 1920), Mathias Sandorf (H. Fescourt, 1921), les Misérables (id., 1925), Antoinette Sabrier (Dulac, 1928), Monte-Cristo (Fescourt, 1929) bénéficient de sa force, voire de sa puissance et de sa sobriété. Il joue avec la même efficacité à partir de 1930 sous la direction de L'Herbier, de Granowski, de Delannoy, et il est encore de l'Armoire volante (C. Rim, 1949) et de Madame de (M. Ophuls, 1953). Époux d'Yvette Andreyor, il a exercé d'importantes fonctions syndicales.