Toutes les critiques de Transfiguration

Les critiques de Première

  1. Première
    par Sylvestre Picard

    Un ado orphelin du Queens se fascine pour les vampires à tel point qu'il va se prendre pour un vrai suceur de sang : l'idée de départ de Transfiguration n'est pas si mauvaise, mais comme s'il avait peur de tomber dans le Z vampirique (on s'explique mal le caméo de Lloyd "Troma" Kaufman), le réalisateur Michael O'Shea se laisse contaminer par le réalisme grisâtre et livre un film anémique. On est loin de la promesse du pitch : The Wire avec des dents pointues.