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Outre des rafales d'effets spéciaux étonnants (...) la fresque vaut évidemment par la présence magnétique de la sublime Milla Jovovich et sa confrontation avec la musculeuse Michelle Rodriguez.
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Oeuvre du crescendo qui ne veut jamais cesser l’ascension vers une fin paroxysmique, Resident Evil : retribution surprend par ses chemins narratifs en tour de spirale et s’avère être l’agréable série B escomptée. Inlassablement divertissant pour ceux qui aiment valser avec le second degré et l’action hors de toute vraisemblance, ce dernier opus répond à toutes les attentes et, vu l’aperçu insurrectionnel monstrueux de la toute fin, autant vous dire que les plus bisseux d’entre nous serons là pour assister au bouquet que l’on annonce déjà comme final.
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Après le 4, forcement, tout paraît bien. Un best of indigeste pour cause de scénario aussi confus qu’inexistant (un paradoxe) mais qui a toutefois le mérite d’avoir du rythme et quelques séquences d’action sympathiques (Mila face aux zombies dans un couloir blanc).
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Ce film reste celui qui se rapproche le plus de l’esprit du jeu vidéo duquel il est adapté. Un scénario d’apocalypse servi par un déferlement d’action redoutablement efficace, qui préfigure d’ores et déjà une suite.
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Si la recette reste inchangée, un nouvel ingrédient s’est néanmoins invité dans ce cinquième volet : Alice se retrouve maman, raconte à Metro Milla Jovovich. (...) Malgré cette trouvaille scénaristique, point de guimauve ici. (...) Paul W. S. Anderson privilégie toujours l’action, les chorégraphies et les effets visuels, osant une fois de plus la surenchère.
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Même si on n'atteint pas la surprenante perfection du quatrième volet, Retribution ne déçoit pas et reste au niveau d'Afterlife (...) L'action, le rythme et le spectacle sont là. On ne boude pas son plaisir.
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Attention, ce film ne s'adresse qu'aux mangeurs de pop-corn, version grand format. Vous avez raté le début ? Pas grave il suffit de savoir que le monde est gouverné par un computer sadique et que seule Alice peut sauver la race humaine.
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L'adaptation du célèbre jeu vidéo est toujours aussi saisissante de nullité : scénario inexistant et néanmoins répétitif, situations absurdes et pourtant incohérentes, personnages caricaturaux et transparents. A un tel degré, c'est une prouesse, de celles dont on se passe aisément.
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Fragmenté en séquences autonomes, sans autre enjeu qu'une accumulation d'effets pyrotechniques datés.
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Cinquième aventure d'Alice (Milla Jovovich) au pays des zombies. Pour changer, elle n'est pas enfermée dans une base souterraine, mais dans un complexe sous-marin. Les gros monstres baveux, eux, sont fidèles au poste. « Meilleur » que le deuxième. Pire que les trois autres.