Toutes les critiques de Off World

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Cette première fiction en dit plus long qu’un documentaire. Sans complaisance, Mateo Guez filme la laideur et en extrait la beauté. Il scrute des laissés-pour-compte et fait émerger leur force de vie. Les états d’âme de Lucky s’effacent devant le constat d’un abandon qui semble toucher le pays tout entier.

Les critiques de la Presse

  1. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    e premier long métrage foisonnant désoriente souvent, séduit parfois, mais révèle certainement un auteur.

  2. Télérama
    par Pierre Murat

    Réalisme et onirisme se mêlent. La musique (...) ajoute à l'hypnose ambiante qui, par moments, vire malheureusement à la préciosité pure. Mais on aime la façon dont le cinéaste saisit la langueur et le trouble.

  3. StudioCiné Live
    par Clément Sautet

    Si le premier long métrage de Mateo Guez peut donner l'impression d'étirer ses séquences faute de contenu, on retiendra un sens remarquable de la mise en scène et du cadrage.

  4. Le Monde
    par Aureliano Tonet

    Les afféteries stylistiques - plans savamment composés, ralentis, musique omniprésente... - donnent la désagréable impression d'assister à un long clip publicitaire, aux confins de la propagande humanitaire et de l'autopromotion.

  5. Les Cahiers du cinéma
    par Joachim Lepastier

    Cette production canadienne tournée aux Philippines par un réalisateur français, nous tenons l'emblème du devenir-sketch d'un certain world cinéma pétri de tics et de bonne conscience.

  6. A voir à lire
    par Julien Lattes

    Une première œuvre au sujet difficile, hélas desservie par un traitement narratif bien trop didactique pour réussir à nous émouvoir pleinement.

  7. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Scénario minimal pour une oeuvre tournée en neuf jours à Manille par un cinéaste français. Celui-ci tente de lui adjoindre une plus-value esthétique en employant divers arti

  8. Critikat.com
    par Benoît Smith

    Rien de plus repoussant que d'instrumentaliser le monde sous son aspect le plus dégradé, de le prendre en otage, en caution, en accessoire pour contrefaire une joliesse déconnectée de ce réel, seulement vouée à satisfaire un ego d'auteur.