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Une poule élevée en batterie s’échappe et réalise son rêve : couver un oeuf. Que ce soit celui d’une cane ne change rien à l’amour qu’elle porte ensuite à son poussin... Joli mais sans génie, le trait de ce dessin animé coréen devrait ravir les tout-petits. Un canard boiteux, un moineau moqueur et une loutre bavarde complètent la distribution de ce film dont le message sur la différence est de bon aloi... Mais le sacrifice final, plus violent que ne le laissait supposer la gentillesse générale du propos, pourrait cependant « heurter la sensibilité des plus jeunes spectateurs ».
Toutes les critiques de Lili à la découverte du monde sauvage
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Une jolie surprise d'animation venue de Corée du Sud, d'une ambitieuse richesse.
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(...) on pleure beaucoup, tout au long de ce récit d'apprentissage que soutiennent un scénario solide et une animation soignée.
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Le cinéma d’animation coréen se dévoile à travers ce conte sur la tolérance empruntant à l’univers et à la noirceur de Don Bluth.
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Attention ce film d'animation est réservé au enfants de 7 à 10 ans affligés de déficience rétinienne ou de daltonisme ou d'un goût déplorable. Graphisme mochasse, couleurs criardes : un succès atomique en Corée du Sud. Allez savoir pourquoi...
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Gros succès en Corée du Sud, ce dessin animé est une fable sur la tolérance dont la force se dilue, hélas, dans l'humour un poil scato. Les animaux y sont plutôt vilains, tout en couleurs criardes.