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(...) malgré un côté provoc gratuite, cet Eastern Boys vénézuelien suscite le trouble et continue d'infuser après la projection.
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Sur un thème qui rappelle parfois le remarquable Eastern Boys, de Robin Campillo, ce premier film n'évite pas les maladresses. La plus voyante : l'insistance sur la figure paternelle, clé unique de tous les maux des deux hommes, et cause d'un coup de théâtre final plutôt forcé...
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Quand le réalisateur ne se complaît pas dans des images impudiques – employons un euphémisme – il opte pour un hors-champ saturé au niveau sonore, transformant le film en un catalogue de bruits (...)
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Ici martelée non sans une certaine complaisance, la dialectique du maître et de l’esclave, chère au cinéma latino-américain, ne casse pas des briques.
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Une chronique austère entre fascination et ennui, qui révèle son suspense dans les dernières minutes. Dommage.
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