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Parabole sur l’état de l’Orient après la chute du communisme, Je suis de Titov Veles n’évite pas certains clichés sur
le désespoir slave. Mais le regard aigu de la jeune réalisatrice et la lumière magnifique de la chef op Virginie Saint-Martin nous offrent des images fortes au charme tenace.
Toutes les critiques de Je suis de Titov Veles
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Flux de conscience chuchoté, inserts à répétition sur les pieds des personnages, têtes tronquées, lumières surréelles sur les visages, tout un attirail d'afféteries est mis ici à contribution, qui finit par se retourner contre la sensibilité intérieure qu'il voudrait évoquer. C'est d'autant plus dommage que l'histoire du film se suffisait sans doute à elle-même.