-
C'est l'alchimie et le charisme des deux héros qui permettent au film d'avancer aussi facilement.
-
"Diversion" est un film d'escroquerie brillant et stylé qui, un peu comme ses protagonistes, compte sur des dialogues frais, un bon sens de l'humour et des entourloupes pour réussir.
-
Une belle photographie. Un film divertissant avec des prestations charmantes de Will Smith et de la nouvelle venue Margot Robbie (...) Vous ne vous ennuierez pas.
-
Pas mal mais pas inoubliable. Le genre de film que l'on voit avec un certain plaisir mais sans rêver d'une suite ou d'un remake.
-
Le film s'amuse à égarer le spectateur à travers des méandres de faux semblants. Will Smith et Margot Robbie sont excellents au jeu du chat et de la souris.
-
Comme un cocktail parfait mélangeant l'acidité à la douceur et le brillant à l'alcool, "Diversion" mêle une réalisation cohérente et somptueuse au pétillant et à l'amusement créés par ses têtes d'affiche.
-
Toujours aussi cool, Will Smith transporte le spectateur avec lui de la Nouvelle-Orléans en Argentine pour une suite de péripéties sans langueur.
-
S'il y a plusieurs arnaques, le film n'en garde pas moins son unité. Glenn Ficarra et John Requa nous bluffent avec le plus grand des plaisirs.
-
Moins réussie, la tentative de psychologisation (le héros peine à s’engager avec une femme à cause de son enfance malheureuse) tombe un peu à plat. Mais Will Smith s’amuse tellement qu’on veut bien rire avec lui.
-
L’intrigue est plutôt efficace et réserve quelques bonnes surprises. On aurait peut-être aimé encore davantage d’ingéniosité dans les rebondissements et d’un twist plus malin.
-
On a besoin de plus que ça, même dans une comédie sur des escrocs qui travaillent sur leurs problèmes de confiance.
-
Au final "Diversion" porte bien son nom : un divertissement un peu longuet, mais plaisant. Et vite oubliable.
-
Par moments, "Diversion" ressemble plus à une pub pour une liqueur onéreuse, un hôtel prestigieux ou une voiture de luxe qu'à un film.
-
La mise en scène est fluide, les dialogues sont musclés. Et les deux interprètes séduisent avec charme. La première partie du film est plutôt convaincante. La deuxième s'essouffle entre l'histoire d'amour et le film policier. Il manque un je-ne-sais-quoi qui ferait basculer le film.
-
Dans l’esprit de comédies d’action élégantes type "Ocean’s Eleven", "Diversion" s’amuse avec le spectateur. Un divertissement léger et savoureux, mené à la baguette par Will Smith.
-
De la filouterie, de la manipulation, un soupçon de romance, des techniques de dépouillement jubilatoires, il n’en fallait pas plus pour fournir à Will Smith un terrain de jeu à la hauteur de son charisme, créant ainsi une "Diversion" sans autre prétention que celle de nous divertir.
-
Le film échoue en plus à hisser sa mise en scène sur des hauteurs tactiques, immatérielles et reste à peu près cloué au sol. Une maigre voilure qui fait à la fois son défaut et son charme, mais qui le renverra bien vite à l’oubli.
-
Dans cette virée bancale, la plus grosse arnaque est de faire croire au public qu'il va passer un bon moment.
-
Malheureusement, comme les traits de caractère majeurs des principaux acteurs sont le manque de sincérité, la noirceur et la fausseté, il est très difficile de s'intéresser davantage à eux.
-
Bien trop peu à se mettre sous la dent dans cette comédie romantique clinquante, ni drôle ni excitante.
-
Vous sortez du film avec l'impression de vous être faits avoir par des escrocs malintentionnés qui n'étaient pas prêts pour le grand show.
-
"Diversion" est amusant mais trop prévisible. Vous aurez trop vite fait de démêler les fils de l’intrigue. De plus le duo Will Smith/Margot Robbie, qui lui pour le coup est original, ne fonctionne pas du tout.
-
L’impression, en tant que spectateur, d’être le premier escroqué laisse un mauvais goût à la bouche, après la vision de "Diversion".
-
Sous ses airs de romance fougueuse et manipulatrice, Diversion n’est qu’une suite de happenings clippesques et démantibulés, prétextes à une tambouille où s'amalgament cartes postales estivales, défilés de mode printemps-été, et compilation de tubes 2014.
-
"Diversion" fait le job, ni plus ni moins, à savoir capter l’attention du spectateur et l’amener à se questionner sur ce qui lui est donné à voir pendant les 105 minutes que dure ce numéro de prestidigitation, certes très conventionnel, mais parfaitement exécuté.
-
Dommage que les aventures de cet Arsène Lupin des temps modernes soient si artificielles.
-
Les réalisateurs mènent cette partie avec savoir-faire. Mais sans le brio qui pourrait nous bluffer.
-
Mix de comédie romantique et de film d’escroquerie porté par un Will Smith en pilote automatique dans son rôle, usé jusqu’à la corde, de tombeur autosatisfait, et recyclant, pour donner le change, le folklore des "Ocean 11, 12, 13".
-
La mise en scène pataude de cette comédie d’action fait corps avec un récit cousu de fil blanc. Les séquences supposées animer nos zygomatiques n’engendrent qu’un embarras profond.
-
Ce thriller à twists s’essouffle, et le héros avec, dans une intrication de mystifications poussives, jamais pensées comme le possible d’un vertige qui transcende ses intentions de papier imprimé.
-
Le film louvoie entre médiocre thriller et comédie romantique à 2 $. (...) Et l'on sort de là en ayant illico absolument tout oublié. Les producteurs de "Diversion" ont inventé le film à désintégration immédiate.
Diversion