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Il y a pas mal de simplisme dans l’histoire vraie de ce danseur iranien confronté à une censure d’État violemment opposée à la pratique de son art. Mais aussi un élan humaniste, pédagogique et surtout visuel, qui culmine lors de superbes pics d’inspiration, au premier rang desquels la fresque chorégraphiée d’où le film tire son titre.
Toutes les critiques de Desert Dancer
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Si vous aimez la danse, ce film est pour vous : les images chorégraphiques sont sublimes et l’histoire est prenante.
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Poignante histoire (...) un peu trop didactique cependant.
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Ce biopic du chorégraphe Afshin Ghaffarian vaut surtout pour l'exploration du Téhéran underground (un hangar peut cacher une discothèque) durant la campagne présidentielle de 2009.
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Desert Dancer a du souffle et de l’intuition, bien plus que les handicaps avec lesquels il partait n’en laissaient présager.
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Ses danses sublimes sont l’un des atouts magiques de son film généreux, juste un peu trop didactique pour emporter totalement l’adhésion.
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Les longues séquences de danse et de théâtre, si elles sont évidemment essentielles, s'étirent trop et ne contribuent pas à donner du rythme à ce film, handicapé par une réalisation par trop standardisée.
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L’intérêt du film Desert Dancer tient dans la trajectoire de son personnage principal (...) Mais il pèche par ses raccourcis, son manque de subtilité. Sa pénible mise en scène, lestée de flash-backs appuyés, de romance insistante et de dialogues artificiels en anglais, dessert totalement son sujet.