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Benedikt Erlingsson élabore un conte choral cruel, proche du film à sketches, où les chevaux sont filmés comme des humains et inversement. Nourri à l’humour noir et au grand air, le récit avance à une allure régulière. Presque trop : son petit trot, plaisant, reste un peu mécanique.
Toutes les critiques de Des chevaux et des hommes
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un premier long décalé et iconoclaste qui en dit long sur la volonté du réalisateur de dynamiter les codes du cinéma conventionnel. Vivant, drolatique, absurde, lyrique, désespéré, Des chevaux et des hommes est un OFNI (objet filmique non identifié) comme on en voit un tous les dix ans. On en redemande.
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Plus que la beauté des paysages, les péripéties de la population et l'élégance des équidés, c'est la nature humaine qui est exposée. Malgré un rythme lent, ce film au ton déroutant se révèle atypique, intelligent et souvent drôle.