Toutes les critiques de Cornouaille

Les critiques de la Presse

  1. Nouvel Obs
    par Martine Noratz

    Anne Le Ny, qui signe une véritable lettre d’amour à la Bretagne dont elle est originaire (la mise en scène est sublime), fait entendre sa petite musique acidulée habituelle, donne à la maison héritée valeur de personnage principal tout en offrant un de ses plus beaux rôles à Vanessa Paradis. Mention aussi aux rôles secondaires, tous formidables.

  2. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Vanessa Paradis qui naviguait à la godille dans ses rôles, reprend pied sur la terre ferme du cinéma avec ce personnage. Elle y est vraie. Anne Le Ny, rigoureuse et délicate, semble la serrer dans ses bras. Quant au film, quoique affaibli par des séquences oniriques dignes de la forêt de Brocéliande, il est comme le ciel breton : il y fait beau une fois sur deux. Mais quand il y fait beau, c’est vraiment bien.

  3. Public
    par La rédaction de Public

    Un film sur des souvenir qui s'effilochent (...) Vanessa Paradis y est convaincante, comme toujours.

  4. Le JDD
    par Barbara Théate

    Anne Le Ny l’avait prouvé dans les très réussis Ceux qui restent et dans Les Invités de mon père, elle sonde avec délicatesse les failles douloureuses de l’être humain. Et propulse Vanessa Paradis, brindille échevelée qui tente de garder le cap de sa vie, dans une chronique à l’ambiance presque fantastique, et du coup un peu déstabilisante.

  5. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Le jeu de Vanessa Paradis porte le film, jusqu'à ce que celui-ci se brise. (...) Plutôt que de s'en tirer par une pirouette, la réalisatrice préfère amener courageusement, mais vainement, son histoire jusqu'au type d'épilogue que l'on trouve d'habitude dans les drames petits-bourgeois du cinéma français.

  6. Critikat.com
    par Estelle Bayon

    L'entreprise est louable mais pèche par un schématisme qui ne laisse jamais pleinement l'aura mystérieuse de son film épouser le souffle de la côte bretonne.

  7. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Plane sur Cornouaille une drôle d'atmosphère. Intrigante. Flottante, aussi : comme Odile, on se perd un peu, par moments, entre les vivants et les morts. Qu'importe ! Ce qui compte, c'est le charme enveloppant, jamais tapageur, avec lequel Anne Le Ny filme la Bretagne, en fille du pays. Jusqu'au bout, tout reste discret, y compris l'avenir de l'héroïne. Pas de happy end spectaculaire, juste la suggestion d'un léger changement de cap possible. Une embellie...

  8. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Un film raté qui ne restera qu’un beau fantasme de cinéma.