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Le film souffre surtout du trait indécis entre sa nostalgie très 80's et son désir de séduction d'un public ado, qu'il traduit dans un montage hystérique croisant le pire du jeu vidéo et du clip.
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Le film souffre surtout du trait indécis entre sa nostalgie très 80's et son désir de séduction d'un public ado, qu'il traduit dans un montage hystérique croisant le pire du jeu vidéo et du clip.
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Après "Massacre à la tronçonneuse" et "Vendredi 13", le cinéaste allemand s’attaque au stéroïdé Conan. Et appose sa touche, mélange assumé de surenchère, de kitsch et de gore un rien crade. Pas assez nanar pour être drôle, trop industrialisé pour être franchement plaisant.
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Après "Massacre à la tronçonneuse" et "Vendredi 13", le cinéaste allemand s’attaque au stéroïdé Conan. Et appose sa touche, mélange assumé de surenchère, de kitsch et de gore un rien crade. Pas assez nanar pour être drôle, trop industrialisé pour être franchement plaisant.
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Difficile de passer après le culte Conan, le Barbare de John Milius. Marcus Nispel s’y attache avec amour mais échoue à faire revivre le mythe.
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Difficile de passer après le culte Conan, le Barbare de John Milius. Marcus Nispel s’y attache avec amour mais échoue à faire revivre le mythe.