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(...) Eric Besnard a la caméra confortablement calée entre Ocean's eleven et l'Affaire Thomas Crown, livrant son interprétation d'une genre, le "caper", jusqu'ici fréquenté essentiellement par les Américains. Mais si Jean Dujardin joue très bien à George Clooney, Besnard n'est pas (encore) Steven Soderbergh. Le charme opère par instants, mais l'exercice de style en manque trop pour être totalement convaincant.
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Oui, c’est vrai, l’affiche de Cash ressemble énormément à celle de Ocean’s eleven. Oui, il y a de charmants malfrats, il y a un casse et une ambiance « champagne », similaire à celle du film avec George et Brad. Ok. Et ensuite ? La lumière est belle, les situations nous tiennent en haleine jusqu’au prévisible retournement de situation. Mais ne boudons pas notre plaisir : les femmes se pâmeront devant le séduisant Dujardin, les hommes baveront devant (au choix) Aline Taglioni ou Valeria Golino, on rit de temps en temps, on est parfois surpris, on ne s’ennuie jamais. Un bon divertissement dans le plus pur style hollywoodien.
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Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Pourquoi mégoter? Avec son deuxième film, Eric Besnard remplit son objectif de réaliser un polar haletant et grand public, sans violence excessive ni vulgarité pénible. La gratuité de l'intrigue n'est cependant pas totale, ses clés sont dans le film, même si sa facture se confond parfois avec celle de la pub.
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Tous les ingrédients sont là - distribution glamour, décors de rêve, une petite point de vengeance et de romantisme -, manque la sauce pour lier le tout. Le côté système D à la française a un aspect sympathique mais il manque des dialogues étincelants et une réalisation impeccable pour soutenir la hauteur de l'enjeu.