Barbecue

La remise en question à un tournant de la vie est l’un des basiques de la comédie. Barbecue choisissant l’infarctus comme détonateur, on regrette que le scénario fasse l’effet d’un pétard mouillé. L’humour est censé tenir dans les défauts et travers de tout ce petit monde qui se côtoie depuis la rencontre sur les bancs de Sup de Co. Il y a donc les éternels divorcés en bisbille, le copain à la conversation soporifique, l’épouse nunuche, le spécialiste des mauvais plans qui est en train de perdre jusqu’à son dernier sou, le célibataire gentil mais ballot... En invitant des acteurs aussi disparates que Lambert Wilson, Guillaume de Tonquédec, Franck Dubosc ou Florence Foresti, le réalisateur courait le risque d’une mayonnaise difficile à faire prendre. Chacun semblant jouer dans son coin et pour lui seul, le rire se propage peu. Et surtout, on ne comprend que rarement comment et pourquoi ces gens-là ont pu être amis pendant trente ans. Et le rester.

Une comédie touchante et pleine d’humilité. Des gags qui ne tombent pas dans le patos. A voir.

Voilà une comédie savoureuse sur les amitiés contrariées dans un groupe de quadras et quinquas, autour d'un Lambert Wilson en pleine crise.

Une belle pléiade de comédiens pour un barbecue qui nous rassasie aisément à force de personnages cocasses et attachants.

Un film de vacances qui respire la bonne humeur.

Une comédie croustillante et réussie, de facture beaucoup moins beauf que son titre.

Énième variation sur le thème Mes meilleurs copains, cette comédie estivale avant l’heure a surtout l’avantage de réunir Dubosc et Foresti en divorcés revanchards et irrésistibles.

Cette comédie chorale a des atouts comme son casting (Guillaume de Tonquédec, Florence Foresti…), mais l’histoire reste trop superficielle.

Avec Barbecue, Éric Lavaine opte pour des dialogues et un humour plus réalistes et des personnages soignés, même si reposant sur des archétypes bien définis. Il offre notamment à Florence Foresti et Franck Dubosc l'occasion de s'écarter de leur zone de confort, et ça paye. Bref, une bande de potes avec laquelle on se taperait bien enfin une grillade, à l'occasion.

Une comédie centrée sur l’amitié et la difficulté de la préserver au fil des années.

Ici, chaque sujet est traité de façon équitable, contribuant à faire de ce Barbecue à la cuisson satisfaisante un véritable instant de convivialité. On pardonnera volontiers quelques lourdeurs scénaristiques pour saluer ce divertissement sans prétention qui donne envie de se faire la malle, rapidement, entre amis.

Un film marrant (...)

Porté par une pléiade d'acteurs tous plus attachants les uns que les autres, de Florence Foresti à Franck Dubosc en passant par Guillame de Tonquédec ou Lionel Abelanski, Barbecue nous permet d'oublier le côté franchouillard et lourdingues des débuts d'Éric Lavaine (Poltergay, Bienvenue à bord), à travers une comédie cocasse et légère à la fois.

Le plus gênant pour le spectateur, face à ce groupe mal assorti, est de n’avoir jamais envie de partir avec. Même pour un barbecue.

Il y a de bonnes idées sur le papier, mais ni la mise en scène ni la composition des acteurs ne parviennent réellement à les faire partager.

Un nanar choral de la pire espèce empreint d'une beaufitude détestable et fièrement revendiquée.

« Barbecue » rassemble une belle brochette de comiques et pourtant la mayonnaise a du mal à prendre. Les personnages un peu trop clichés manquent d’authenticité et on se demande comment tout ce petit groupe a pu devenir ami et le rester ?

Rien de saignant dans ce barbecue.

Une bande de copains quinquagénaires se retrouve de temps en temps, sous l'oeil ironique de l'un des leurs (Lambert Wilson). Une belle distribution, de chouettes numéros d'acteurs, mais pas grand-chose d'autre.