Date de sortie 5 décembre 2018
Durée 110 mn
Réalisé par Sam Levinson
Avec Odessa Young , Hari Nef , Suki Waterhouse
Scénariste(s) Sam Levinson
Distributeur Apollo Films
Année de production 2018
Pays de production Etats-Unis
Genre Thriller
Couleur Couleur

Synopsis

Comme partout ailleurs, Lily, élève de terminale, et son cercle d’amis évoluent constamment dans un univers de textos, selfies, tchats et autres « posts » sur les réseaux sociaux. Quand un hacker se met à publier des détails personnels et compromettants sur les habitants de leur petite ville, celle-ci sombre rapidement dans la folie pure. Lily et ses camarades survivront-elles à cette nuit infernale?

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Critiques de Assassination Nation

  1. Première
    par Sylvestre Picard

    Dans la ville de Salem, les hommes prennent les armes pour lyncher quatre jeunes filles accusées d’avoir piraté les données personnelles des habitants. Le chaos s’installe. Il n’y a pas grand-chose à sauver de ce film, qui tente désespérément de choquer par tous les moyens. Les tirades sur le féminisme et le harcèlement donnent l’impression de fiches Wikipédia mal recrachées. Le film, version prétentieuse d’American Nightmare, bascule à quelques minutes de la fin dans une violence nauséabonde, jamais interrogée ni même bien filmée. Si vous vous attendiez à un nouveau Boulevard de la mort où l’on prend les armes contre le patriarcat, vous risquez d’être gravement déçus : à preuve, le slogan « Not All Men », balancé comme une évidence à quelques secondes de la fin.

  2. Première
    par Sylvestre Picard

    Dans la ville de Salem, les hommes prennent les armes pour lyncher quatre jeunes filles accusées d’avoir piraté les données personnelles des habitants. Le chaos s’installe. Il n’y a pas grand-chose à sauver de ce film, qui tente désespérément de choquer par tous les moyens. Les tirades sur le féminisme et le harcèlement donnent l’impression de fiches Wikipédia mal recrachées. Le film, version prétentieuse d’American Nightmare, bascule à quelques minutes de la fin dans une violence nauséabonde, jamais interrogée ni même bien filmée. Si vous vous attendiez à un nouveau Boulevard de la mort où l’on prend les armes contre le patriarcat, vous risquez d’être gravement déçus : à preuve, le slogan « Not All Men », balancé comme une évidence à quelques secondes de la fin.