De 1920 à 1929, il fixe l'image d'un homme probe, voué à la patrie et à l'honneur du drapeau. D'où ses rôles dans des cinéromans de René Leprince, Henri Desfontaines ou Gaston Ravel et dans des drames d'espionnage de Gaston Roudès. Comme le parlant, alors à ses débuts, le rebute, il fait carrière dans le négoce. En 1938 toutefois, il retourne pour trois ans au studio. Grâce à des rôles secondaires, il y retrouve les films d'espionnage : Deuxième Bureau contre Kommandantur (René Jayet et Robert Bibal, 1939) ; Patrouille blanche (Christian Chamborant, 1942).