Travaillant de 1935 (Königswalzer) à 1944 (Musik in Salzburg), il est l'un des représentants les plus typiques de l'état d'esprit nazi au cinéma. Farouche partisan du régime, il étale ses idées avec, notamment, Hommes sans patrie (Menschen ohne Vaterland, 1937). Plus tard, il glorifie deux héros allemands dans Friedrich Schiller (1940) et Andreas Schlüter (1942), uvres qui ne manquent pas de qualités esthétiques, malgré une mise en scène un peu théâtrale. Il a également tourné Boccaccio (1936), Liebeserwachen (1937), Curs d'acier (Starke Herzen, id.), Andalusische Nächte (1938), Nanon (1939) et Die Zaubergeige (1944). Après la guerre, il revient au théâtre de ses débuts.