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PHOTOS - Olga Kurylenko : de 007 à Malick, naissance d'une star

La belle Olga Kurylenko, à Londres, en 2008.

La belle Olga Kurylenko

La magnifique Olga Kurylenko en mode verso...

La sublime Olga Kurylenko, à Paris, en 2010.

La très jolie Olga Kurylenko, à Londres, en 2010.

La belle Olga Kurylenko, à Madrid, en 2011.

La belle Olga Kurylenko, à Madrid, en 2011.

Après <strong>un parcours rapide, intelligent et sans faute</strong>, le sublime mannequin <strong>Olga Kurylenko</strong> devient <strong>une actrice à part entière et s'apprête à devenir une star incontournable</strong>.Retour sur le parcours de cette grande brune (1m75) aux yeux verts aussi belle que talentueuse. Olga est née en 1979 à Berdiansk (Ukraine, ex-Union Soviétique), d'un père ukrainien et d'une mère biélorusse.A 16 ans, elle se fait remarquer dans la rue par un agent français en voyage en Ukraine, et quelques jours plus tard, elle débarque à Paris. Après avoir appris la langue de Molière en seulement quelques mois, elle se lance avec succès dans le mannequinat.Dans la Ville Lumière, <strong>tous les "modeux" sont sous le charme de cette beauté de l'Est fraîche, élégante et au visage pur</strong>. Ce qui lui vaut de nombreuses campagnes pour des marques de luxe et de cosmétiques, ainsi que plusieurs couvertures de magazines de mode comme <em>Vogue </em>et <em>Elle</em>. <strong>Deux ans plus tard, elle s'envole pour New York</strong> où elle continue sa carrière de mannequin et, en femme intelligente et réfléchie, pense déjà à la suite <strong>en suivant des cours d'art dramatique au célèbre Actor's Studio</strong>, l'école créée par <strong>Lee Strasberg</strong> et qui a vu sortir de ses rangs des artistes comme <strong>James Dean</strong>, <strong>Marlon Brando</strong> ou <strong>Robert de Niro</strong>. De retour à Paris en 2001, à 22 ans, <strong>elle obtient la nationalité française et s'installe dans la capitale</strong>, où les directeurs de casting de cinéma commence à la voir plus comme une actrice potentielle que comme un mannequin voulant faire des films. Il faut dire qu'avec son visage expressif et son physique très avantageux, elle séduit tous les décideurs du métier.Elle fait ainsi ses premiers pas de comédienne dans <em>L'Annulaire</em>, avant de participer à la déclaration d'amour de plusieurs cinéastes pour Paris avec "le film à sketches" <em>Paris je t'aime</em>, pour lequel elle joue dans le segment réalisé par <strong>Vincenzo Natali</strong> (<em>Cube</em>, <em>Cypher</em>). Sa carrière est dorénavant lancée et c'est en France qu'elle se perfectionne avec des rôles de plus en plus importants, comme dans <em>Le Serpent</em>, d'<strong>Eric Barbier</strong>, un thriller psychologique dans lequel elle fait face à <strong>Yvan Attal</strong> et <strong>Clovis Cornillac</strong>. <strong>Côté c?ur, tout ne roule pas aussi bien</strong>. Après un premier mariage en 2000 avec le photographe français Cédric de Mol (qui se finira par un divorce en 2004), elle épouse en seconde noce l'entrepreneur Damian Gabrielle en 2006 avant de divorcer également en 2007. Après les films d'auteur pour apprendre le métier et les divorces pour apprendre la vie, <strong>Olga se lance dans les blockbusters pour toucher le plus grand nombre</strong>. On la retrouve ainsi à l'affiche de Hitman (2007), Max Payne (2008), et surtout Quantum of Solace (2008), <strong>22e James Bond de la série qu'elle illumine de toute sa beauté</strong>, relevant le niveau de cet aventure <em>bondienne </em>qui ne fera pas date malgré un immense succès au box-office en faisant l'épisode le plus rentable de la saga. Depuis ce carton planétaire, elle gère sa carrière avec goût, sans se précipiter. Si elle s'est octroyée le rôle d'une sauvageonne sexy face à <strong>Michael Fassbender</strong> dans Centurion (un peplum musclé dans l'esprit de <em>Gladiator</em>), c'est dans des films plus intimistes que la belle Olga se sent le plus à l'aise.Ainsi, si nous la retrouverons prochainement dans le petit écran pour la série télé <em>Magic City</em>, au cinéma, la belle brune prend le temps de faire ses choix. Elle sera le 28 mars à l'affiche du drame La Terre outragée (qui revient sur la catastrophe de Tchernobyl), avant de revenir avec le très attendu The Burial de l'immense <strong>Terrence Malick</strong> (Palme d'Or à Cannes en 2011 pour <em>The Tree of Life</em>), dans lequel elle séduira <strong>Ben Affleck</strong>, entourée aussi de <strong>Rachel McAdams</strong>, <strong>Javier Bardem</strong>, <strong>Rachel Weisz</strong> et <strong>Jessica Chastain</strong>. Ajoutons à ce programme plus qu'alléchant que la belle tourne actuellement Oblivion avec <strong>Tom Cruise</strong>, sous la direction de <strong>Joseph Kosinski</strong> (<em>Tron Legacy</em>), et nous pouvons avancer sans trop nous mouiller que la magnifique Olga est là pour durer.Alors un conseil : apprenez dès aujourd'hui à prononcer son charmant nom,<strong>&nbsp;vous n'avez pas fini d'en entendre parler !</strong>

La superbe Olga Kurylenko, à Marrakech, en 2011.

La belle Olga Kurylenko, à Marrakech, en 2011.

La belle Olga Kurylenko, à Marrakech, en 2011.

La belle Olga Kurylenko, à Los Angeles, en 2012.

La belle Olga Kurylenko, à Paris, en 2012.

La belle Olga Kurylenko, à Paris, en 2012.

La belle Olga Kurylenko, à Los Angeles, en 2012.

La belle Olga Kurylenko, à Los Angeles, en 2012.

La belle Olga Kurylenko, à Los Angeles, en 2012.

La belle Olga Kurylenko, à Los Angeles, en 2012.

La belle Olga Kurylenko, à Los Angeles, en 2012.

La belle Olga Kurylenko, à Los Angeles, en 2012.

La ravaissante Olga Kurylenko

La belle Olga Kurylenko, à Los Angeles, en 2012.

Après un parcours rapide, intelligent et sans faute, le sublime mannequin Olga Kurylenko devient une actrice à part entière et s'apprête à devenir une star incontournable.Retour sur le parcours de cette grande brune (1m75) aux yeux verts aussi belle que talentueuse.Olga est née en 1979 à Berdiansk (Ukraine, ex-Union Soviétique), d'un père ukrainien et d'une mère biélorusse.A 16 ans, elle se fait remarquer dans la rue par un agent français en voyage en Ukraine, et quelques jours plus tard, elle débarque à Paris. Après avoir appris la langue de Molière en seulement quelques mois, elle se lance avec succès dans le mannequinat.Dans la Ville Lumière, tous les "modeux" sont sous le charme de cette beauté de l'Est fraîche, élégante et au visage pur. Ce qui lui vaut de nombreuses campagnes pour des marques de luxe et de cosmétiques, ainsi que plusieurs couvertures de magazines de mode comme Vogue et Elle.Deux ans plus tard, elle s'envole pour New York où elle continue sa carrière de mannequin et, en femme intelligente et réfléchie, pense déjà à la suite en suivant des cours d'art dramatique au célèbre Actor's Studio, l'école créée par Lee Strasberg et qui a vu sortir de ses rangs des artistes comme James Dean, Marlon Brando ou Robert de Niro.De retour à Paris en 2001, à 22 ans, elle obtient la nationalité française et s'installe dans la capitale, où les directeurs de casting de cinéma commence à la voir plus comme une actrice potentielle que comme un mannequin voulant faire des films. Il faut dire qu'avec son visage expressif et son physique très avantageux, elle séduit tous les décideurs du métier.Elle fait ainsi ses premiers pas de comédienne dans L'Annulaire, avant de participer à la déclaration d'amour de plusieurs cinéastes pour Paris avec "le film à sketches" Paris je t'aime, pour lequel elle joue dans le segment réalisé par Vincenzo Natali (Cube, Cypher).Sa carrière est dorénavant lancée et c'est en France qu'elle se perfectionne avec des rôles de plus en plus importants, comme dans Le Serpent, d'Eric Barbier, un thriller psychologique dans lequel elle fait face à Yvan Attal et Clovis Cornillac.Côté cœur, tout ne roule pas aussi bien. Après un premier mariage en 2000 avec le photographe français Cédric de Mol (qui se finira par un divorce en 2004), elle épouse en seconde noce l'entrepreneur Damian Gabrielle en 2006 avant de divorcer également en 2007.Après les films d'auteur pour apprendre le métier et les divorces pour apprendre la vie, Olga se lance dans les blockbusters pour toucher le plus grand nombre. On la retrouve ainsi à l'affiche de Hitman (2007), Max Payne (2008), et surtout Quantum of Solace (2008), 22e James Bond de la série qu'elle illumine de toute sa beauté, relevant le niveau de cet aventure bondienne qui ne fera pas date malgré un immense succès au box-office en faisant l'épisode le plus rentable de la saga.Depuis ce carton planétaire, elle gère sa carrière avec goût, sans se précipiter. Si elle s'est octroyée le rôle d'une sauvageonne sexy face à Michael Fassbender dans Centurion (un peplum musclé dans l'esprit de Gladiator), c'est dans des films plus intimistes que la belle Olga se sent le plus à l'aise.Ainsi, si nous la retrouverons prochainement dans le petit écran pour la série télé Magic City, au cinéma, la belle brune prend le temps de faire ses choix. Elle sera le 28 mars à l'affiche du drame La Terre outragée (qui revient sur la catastrophe de Tchernobyl), avant de revenir avec le très attendu The Burial de l'immense Terrence Malick (Palme d'Or à Cannes en 2011 pour The Tree of Life), dans lequel elle séduira Ben Affleck, entourée aussi de Rachel McAdams, Javier Bardem, Rachel Weisz et Jessica Chastain.Ajoutons à ce programme plus qu'alléchant que la belle tourne actuellement Oblivion avec Tom Cruise, sous la direction de Joseph Kosinski (Tron Legacy), et nous pouvons avancer sans trop nous mouiller que la magnifique Olga est là pour durer.Alors un conseil : apprenez dès aujourd'hui à prononcer son charmant nom, vous n'avez pas fini d'en entendre parler !