L'acteur-réalisateur du Distrait tourne L’homme qui a vu l’ours qui a vu l’homme, avec Timi-Joy Marbot, Gustave Kervern... et lui-même.
Bonne nouvelle pour tous les fans de Pierre Richard : le comédien phare du Grand Blond et de La Chèvre est en train de préparer son neuvième film en tant que réalisateur. Dans lequel il se mettra lui-même en scène, précise d'emblée Le Film Français, qui révèle l'information.
A 90 ans, Pierre Richard tourne depuis le 23 septembre à Gruissan, en Occitanie, L’homme qui a vu l’ours qui a vu l’homme, aux côtés de Timi-Joy Marbot (visible à ses côtés sur la photo partagée par le magazine, et vu récemment dans Sous la Seine) et Gustave Kervern (Effacez l'historique). Produite par Moby Dick Films, cette comédie sera distribuée au cinéma par ARP Sélection.
L'histoire, coécrite avec Anne-Sophie Rivière, suit Grégoire et Michel. "Bien que plusieurs dizaines d’années les séparent, ces deux-là sont liés par une amitié hors norme, aussi fantasque qu’indéfectible, détaille le synopsis. Un jour, un cirque voisin déclare que son ours s’est échappé…"
Attendu en fin d'année prochaine au cinéma, L’homme qui a vu l’ours qui a vu l’homme sera en tournage jusqu'au 6 novembre. Son budget s'élève à 3,2 millions d'euros.
Christophe Duthuron : "Diriger Pierre Richard, c’est un travail de sculpteur"Au sein de l'équipe, Pierre Richard pourra compter sur Elodie Gay (Docteur ?) en première assistante, Pierre Aïm (La Haine) à la photo, Laurent Lafran (Et la fête continue) en ingénieur du son, Jeanne Kef (Fêlés) au montage, Elfie Carlier (Yannick) aux costumes, Mathieu Menut (Les Vieux fourneaux) aux décors, Gaspard Rivoire (La Vénus d'argent) à la régie et François Pascaud à la direction de production (Les Survivants). C'est Agathe Hassenforder (La Nuit du 12) qui a supervisé le casting.
Notez enfin que cela fait 27 ans que Pierre Richard n'était plus repassé derrière la caméra. En 1970, il a réalisé Le Distrait, puis ont suivi Les Malheurs d'Alfred (1972), Je sais rien, mais je dirai tout (1973), Je suis timide, mais je me soigne (1978), C'est pas moi, c'est lui (1980), Parlez-moi du Che (documentaire sorti en 1987), On peut toujours rêver (1991) et Droit dans le mur (1997). Ce dernier a fait un flop, mais ses sept premières réalisations ont attiré entre 600 000 et 2,5 millions de spectateurs au cinéma, à leur sortie.
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