Dans Still Alice, Julianne Moore campe une éminente psychothérapeute atteinte d'une maladie d'Alzheimer.Dans la vraie vie, l'actrice de 54 ans s'est déjà retrouvée de l'autre côté du divan. Dans le magazine The Hollywood Reporter, dont elle fait la couverture, la plus talentueuse des rousses se livre dans une interview intime où elle évoque le divorce, le bonheur, Dieu, le sens de la vie, la psychothérapie et le deuil.L'égérie L'Oréal se souvient notamment d'avoir traversé une passe difficile lorsqu'elle était âgée d'une trentaine d'années, après son deuxième divorce : "J'étais seule. Je ne pense pas que je me sentais heureuse. Je n'avais pas la vie sentimentale que je voulais. J'ai passé la vingtaine à travailler dur, à courir partout après 'ça', alors qu'il n'était nulle part en réalité. Ce n'était qu'un métier, et je rêvais d'une famille".Celle qu'on a pu voir dans Magnolia, Boogie Nights ou The Big Lebowski confie alors s'être tournée vers une psychothérapeute. "J'ai découvert que ma vie privée était aussi importante que ma carrière. Jusque là je n'avais pas pris le temps. Je n'avais pas investi dedans", reconnaît celle qui est aujourd'hui mariée et maman de deux grands adolescents.Julianne Moore déclare ne pas croire en Dieu depuis le décès brutal et toujours inexpliqué de sa mère en 2008 mais en un "ordre et une narration qu'on nous impose pour tout expliquer, sinon ça serait le chaos."L'actrice nommée et favorite dans la course aux Oscars 2015 avec Still Alice évoque également Kristen Stewart, qui joue sa fille à l'écran dans le drame. "Elle est douée pour jouer une personne commune. Mais elle possède tellement de facettes : il n'y a rien de commun en elle".La bande-annonce de Still Alice avec Julianne Moore :
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- Julianne Moore : son divorce, la psychothérapie et Kristen Stewart
Julianne Moore : son divorce, la psychothérapie et Kristen Stewart
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