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Pour ce face-à-face entre deux cultures, les réalisateurs nous placent à la fois côté Victor et côté Leonardo. Le troglodyte contre le snob ? Autant dire Charybde ou Scylla ! Le malaise est constant dans ce film étrange qui traîne un peu en longueur. De cette exploration de l'âme humaine, personne ne sort indemne. C'est désagréable et ambitieux. Et politiquement incorrect.
Toutes les critiques de L'homme d'à-côté
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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les réalisateurs on taillé un scénario de génie (...) Petit bijou ultra-noir et sacrément jouissif ! (…) le film est hi-la-rant ! D’un humour noir, très noir. (…) Bourré de situations cocasses, tout en étant toujours sur la corde raide et ultra-tendu, le film vous baladera durant deux heures pour se terminer par une des ces les plus glaçantes, cyniques et effroyables qu'on ait vues depuis un bail.
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On obtient un film rare, même s'il est imparfait, une satire analytique qui exige un peu de réflexion pour faire rire.
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A partir d’une simple querelle de voisinage, les réalisateurs créent un film tendu qui en dit long sur les oppositions sociales à l’œuvre dans la société argentine. Un petit bijou à découvrir au plus vite.
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Une comédie acérée sur les limites rapidement atteintes de la tolérance et sur le plaisir cauchemardesque du voyeurisme.
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L’idée serait parfaite pour un court-métrage. Mais cette comédie cruelle se répète et se dilue.
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Cette comédie, plus que rugueuse qu'un crépi, part d'une simple querelle de voisinage pour peindre au pistolet deux milieux socio-culturel qui n'auraient jamais du se croiser.
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La meilleure idée, c’est ce lieu, la Casa Curutchet à La Plata, où a été tourné le film ; sa configuration futuriste est le principal atout de la mise en scène. Le reste, le conflit entre les deux hommes, poussant le comique de répétition jusque dans ses retranchements les plus grinçants, est passablement pesant.