Toutes les critiques de Electrick Children

Les critiques de Première

  1. Première
    par Thomas Agnelli

    Rachel est une jeune mormone persuadée d’avoir été mise enceinte par un esprit divin après l’écoute d’un morceau de rock’n’roll. Fantasme ou réalité ? Plus qu’au milieu drastique
    qu’elle dépeint, Rebecca Thomas s’intéresse au parcours d’une adolescente en quête de reconnaissance. Le sujet et le contexte sont originaux mais, entre la narration confuse, l’esthétique surannée, le surjeu des comédiens et leur incapacité à provoquer l’empathie, Electrick Children finit par rejoindre tous les mauvais films indés rediffusés à l'envi sur Sundance Channel.

Les critiques de la Presse

  1. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Une quête et des personnages surréalistes, voici les ingrédients de ce film indépendant totalement étonnant, un éveil à la vie en accéléré sur fond de choc des cultures entre ces mornes mormons et un Las Vegas décadent. Rebecca Thomas filme la fin de toutes les innocences de manière particulièrement originale, faisant d’Electrick Children le voyage initiatique le plus déroutant de ces dernières années au cinéma.

  2. Ecran Large
    par Thibaud Gonzalez

    Incarnant une sorte de vierge Marie contemporaine, la lumineuse Julia Garner éclaire ce film qui mêle joliment le thème de la dérive adolescente à celui du conte mystique et religieux.

  3. StudioCiné Live
    par Xavier Leherpeur

    Un road movie musical, inégalement scénarisé.

  4. Les Fiches du cinéma
    par La redaction de Les Fiches du Cinema

    Electrick Children est le premier film de R. Thomas, âgée de 28 ans, et étudiante à l'Université de Columbia à New York. Une œuvre juvénile, autobiographique et pleine d'une fraîcheur conquérante, portée par les échos du groupe powerpop The Nerves.

  5. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Sans régler ses comptes (une bonne chose) mais soulignant avec une ironie empathique et mordante ces existences exclues de la réalité, la cinéaste, issue de ces communautés, signe une fiction initiatique au charme indéniable mais éphémère.

  6. Critikat.com
    par Ariane Beauvillard

    le film est, certes, parfois un peu plombé par ses références et ses accroches symboliques, mais il reste une ode brumeuse et poétique à la découverte adolescente.

  7. La Croix
    par Arnaud Schwartz

    Parvenant à faire abdiquer au spectateur toute rationalité, Electrick Children s’impose comme une expérience singulière, à la poésie aussi indécise qu’un ciel de crépuscule au-dessus de la cité aux néons géants.

  8. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Le film, commencé sous le signe de l'originalité, ne tient pas tout à fait la route.

  9. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Une innocente à Las Vegas : voilà le point de départ de ce drame indépendant. Hélas, au lieu de traiter son sujet principal, l’assujettissement à la religion et le lavage de cerveau
    opéré par les gourous radicaux, on assiste à l’errance d’une ado qui ouvre ses yeux sur le monde. Un film qui manque cruellement de rythme et d’enjeux.

  10. Excessif / TF1 News
    par Romain Le Vern

    Avec son esthétique 90's, "Electrick Children" semble avoir vingt ans de retard, fantasmant une époque révolue où le cinéma indépendant américain avait le vent en poupe. Et, malgré son postulat intrigant, échoue à nous impliquer émotionnellement. Du coup, le spectateur n'a pas aucun autre choix que de regarder ce parcours initiatique, sans passion et avec ennui.

  11. Les Fiches du cinéma
    par Emma Martin

    Si l'on veut bien concéder à Rebecca Thomas les maladresses inhérentes à un premier film, il se révèle bien plus difficile de passer outre ce qui apparaît comme un stratagème primaire pour faire du long-métrage une bête à concours, ou à festivals plutôt.

  12. Télérama
    par Blottière Mathilde

    Ce premier film mise sur le contraste entre Las Vegas, cité du vice, et une communauté rétrograde dont le principal hobby semble être le mariage arrangé. Simpliste.