Toutes les critiques de La Première Étoile

Les critiques de Première

  1. Première
    par Veronique Le Bris

    Ne vous fiez ni à l’affiche ni au pitch du film. Ce premier long métrage vaut beaucoup mieux ! Sans révolutionner ce genre de comédies où un corps étranger (ici, une famille black) est plongé en milieu hostile (à la neige, donc), Lucien Jean-Baptiste, réalisateur et acteur principal du film, s’autorise à peu près tout et parvient à traiter du racisme, de la galère, des sentiments, des débuts à ski... On est très vite emportés par cette famille sympathique et haute en couleur. L’ensemble est simple, de bonne tenue, rafraîchissant, et surtout sincère. Bref, réjouissant et de saison.

Les critiques de la Presse

  1. Pariscope
    par Virginie Gaucher

    Système D par ci, chantage par là ou encore appel à la solidarité des voisins et direction les pistes ! Une grande première pour cette famille d’origine antillaise, que la grand-mère, cocasse Firmine Richard, principale ressort comique du film, mène à la baguette. L’acteur martiniquais Lucien Jean-Baptiste se raconte ici un souvenir d’enfance. Cette aventure évite l’écueil des bons sentiments – mais pas toujours les clichés-, évoque sans pesanteur le racisme et plante un décor social réaliste. Au final, une comédie familiale, qui ne manque pas de charme.

  2. Le JDD
    par Jean-Pierre Lacomme

    Une comédie sans prétention, mais plus profonde qu'elle n'y parait, et qui slalome avec habileté entre tous les pièges qui étaient posés en embuscade sur son parcours tout en évitant l'avalanche de bons sentiments.

  3. Paris Match
    par Alain Spira

    Une famille antillaise aux sports d'hiver, voilà qui donne des couleurs à cette comédie sociale et familiale très sympathique.

  4. Télé 7 jours
    par Julien Barcilon

    Entre rire et émotion, un divertissement plaisant, gentiment caricatural et anodin.

  5. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Pour ses débuts derrière la caméra, il [le réalisateur Lucien Jean-Baptiste] en a tiré une comédie plaisante, alliant un sens malicieux des situations, une grande tendresse pour ses personnages, un regard généreux sur la France des banlieues et une manière de se moquer de ses personnages noirs que ne pourrait pas se permettre un cinéaste blanc.