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Après Comme les autres, avec des homos, voici donc Baby Blues, avec des femmes a priori libérées. Les deux films ont d’ailleurs beaucoup de points communs, et pas seulement dans la manière dont ils font de ce thème un objet de quiproquos, de portes qui claquent et de remises en cause individuelles. Le film de Diane Bertrand, même s’il manque un peu de rythme pour tenir son rang de vaudeville existentiel, a cependant un charme et une fraîcheur qui manquaient à celui de Vincent Garenq, peut-être parce que certaines situations ou personnages (notamment la psy jouée par Valérie Benguigui) lui apportent une part de folie douce bienvenue.
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Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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(...) Une intrigue forte aurait peut-être été préférable à de multiples embryons de bonnes idées qui s'entrecroisent et finissent par se faire de l'ombre les unes aux autres.