Après des études de lettres, il suit les cours de l'IDHEC et fait ses premiers pas de réalisateur à la télévision française. Il réalise, en 1975, un premier court métrage, la Cellule (CM), puis en 1978 la Cible (CM). En 1984, A. Bahloul signe son premier long métrage, le Thé à la menthe, puis en 1991 Un vampire au paradis, et en 1996 les Surs Hamlet. Avec la Nuit du destin (1997), sur un scénario coécrit avec Pascal Bonitzer, il évoque la tentation du retour dans son pays d'un vieil Algérien installé à Paris.