Plan de table

Un petit coup vite fait contre une table quelques heures avant la réception, et voilà que la mariée met en désordre la disposition des invités. Au bienheureux jeune homme de remettre les cartons à leur place. Mais gaffe ! Au gré de ses choix, le destin des invités sera remis en question… Malgré une bonne volonté évidente (les acteurs, notamment, ont l’air d’y croire et suscitent de ce fait un minimum de sympathie), le film s’englue dans les méandres d’un pitch auquel la réalisatrice a cru bon devoir faire une confiance aveugle… Mauvais plan.

Idéal pour se détendre en couple ou entre copine après le boulot, c'est sympa, même si c'est un peu caricatural. Mention spéciale pour Audrey Lamy en Bridget Jones qui se ramasse des vestes.

On aime bien tous ces acteurs, mais ici ils ne trouvent jamais un script à la hauteur de leur potentiel comique, alors que la mise en scène de premier film est totalement illustrative.
Plan de travail et son final guimauve est donc à réserver aux seuls inconditionnels de Dubosc et des comédies de mariage, qui y trouveront peut-être matière à rire. Et encore.

Le résultat est répétitif et poussif. Deux ou trois scènes vous arracheront un (sous)rire. (...) Bref, on n'est pas à la noce.

Malgré un procédé rigolo et des répliques qui font mouche, les situations périmées plombent une comédie ravie de nous rappeler cette vérité essentielle: "Dans la vie, on a toujours le choix."

Comédie rebattue où l'on assiste à trois versions d'un repas de mariage selon la place des convives. Prière d'éviter cette cérémonie!

Un concentré de tout ce que l'influence de la télévision a fait de pire à la comédie française.

Le sentiment de déjà-vu est rehaussé par une vulgarité pas indispensable. A la dernière image, les deux héros s'embrassent sous la pluie. "Quatre mariages et un enterrement" se terminait comme ça. La comparaison s'arrête là.