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Considéré comme le Jules et Jim local par la presse marocaine, ce deuxième long-métrage d'Hicham Ayouch laisse pantois. (...) Les comédiens en roue libre, font ce qu'ils peuvent, mais sans ossature scénaristique, tout cela est plus agaçant qu'autre chose. Et, à force de tituber, le film s'écroule.
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Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ce n’est pas un film militant, ni même directement politique, mais c’est assurément un film de libération, dont notre perception est fatalement éclairée par l’éclatante lumière de l’actualité arabe.
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Dans un Tanger interlope, trois êtres éprouvés par la vie se croisent, s’attirent et se déchirent. Ce triangle amoureux sert de fil conducteur au film. L’écriture est parfois maladroite, mais la mise en scène qui puise dans la folie désespérée et le penchant pour l’autodestruction de ses personnages a du punch.
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Des chèvres qui jouent à peine mieux que les acteurs. Le truc ressemble à la crise de nerfs d'un parkinsonien qui confond la caméra avec une essoreuse.
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Hicham Ayouch revendique un 'besoin d'expression insoutenable'. Ça ne suffit pas à en faire un héritier de John Cassavetes ou de la Nouvelle Vague.