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Poussée par ses amis, Montana, hôtesse de l’air et éternelle célibataire, s’embarque dans un marathon amoureux pour trouver la perle rare. De la musique soul aux vibes langoureuses à la bonne copine rigolote, en passant par l’inévitable steward gay, Destination Love ne lésine pas sur les clichés, à l’image de son titre. Si, pendant un temps, la midinette qui sommeille en chacun de nous peut se satisfaire de ce Sex and the City Airlines, l’accumulation des poncifs, jusqu’à l’inépuisable « prince charmant de proximité », finit par agacer et empêche cette comédie de décoller.
Toutes les critiques de Destination Love
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Il y a peu de chances de retrouver de la romance ou du réalisme mais l’humour est bien présent.
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« Destination love » contourne largement notre intellect, on retrouve une part de satisfaction mais à un degré de bêtise élevé.
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Une comédie romantique très cliché.
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Taye Diggs, Djimon Hounsou ou encore Derek Luke jouent des coudes pour montrer leurs abdos et leurs belles gueules dans cette comédie romantique pour une fois très chocolat.
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Très archaïque sur son portrait de la femme, plutôt insultant, ce film aurait dû sortir en 1963 et pas en 2013.
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Une romance douloureusement prévisible et une comédie terriblement pas drôle.
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Une comédie embarrassante, insultante envers le public féminin alors que ce film lui est destiné.
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Alambiqué, prévisible et pas vraiment comique.
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Talbert a étudié la recette qui fonctionnait mais au lieu de la rafraîchir et d’aller au-delà des vieux clichés, il les réitère.
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Une véritable catastrophe.