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PHOTOS - Hélène Fillières : retour sur le parcours de l'actrice et réalisatrice !

La beauté singulière d'Hélène Fillières.

La ravissante Hélène Fillières.

Hélène Fillières est omniprésente en 2012 !

<strong>Une carrière déjà longue de 20 ans. Des rôles cultes à foison. Des films qui ne laissent pas indifférents. Et une actualité bouillante. Voici Hélène Fillières !</strong> Née le 1er mai 1972, <strong>Hélène Fillières</strong> fêtera ses 40 ans et ses deux décennies de carrière dans quelques jours.Après une carrière de mannequin, Hélène découvre la comédie devant la caméra de sa s?ur, la scénariste et réalisatrice <strong>Sophie Fillières</strong>, qui l'a fait tourner dans ses premiers essais à l'adolescence.Son passé de modèle lui assure une allure féline et élégante qui fera merveille devant les caméras des cinéastes qu'elle rencontrera tout au long de son parcours. Ainsi, démarrée en 1992 devant la caméra de <strong>Jacques Doillon</strong> (pour <em>Amoureuse</em>), sa carrière démarre fort. Sa silhouette svelte et élancée, ainsi que son visage mystérieux, achèvent de séduire des cinéastes aussi réputés que <strong>Christian Pasca</strong>l (<em>Adultère Mode d'emploi</em>), <strong>Pascal Bonitzer</strong> (<em>Encore</em>), <strong>Francis Girod</strong> (<em>Passage à l'acte</em>), <strong>Tonie Marshall</strong> (<em>Vénus Beauté Institut</em>) qui dviendra sa réalisatrice-fétiche, <strong>Cédric Klapisch</strong> (<em>Peut-être</em>) ou <strong>Danièle Thompson</strong> (<em>La Bûche</em>). En dehors de ses participations aux films de ces grands metteurs en scène, <strong>Hélène </strong>tourne avec sa s?ur Sophie dans <em>Grande Petite</em> (1994) et <em>Aïe </em>(2000). Le nouveau millénaire ne freine pas la faim de tournages de la grande et belle brune qui met sous son charme de nombreux réalisatrices et réalisateurs. On la retrouve en effet à l'affiche de <em>Un amour de femme</em> de <strong>Sylvie Verheyde</strong> (2001), <em>Bord de mer</em> de <strong>Julie Lopes-Curval</strong> (2002), <em>Au plus près du Paradis</em> de <strong>Tonie Marshall</strong> (2002), <em>Vendredi soir</em> de <strong>Claire Denis</strong> (2002), <em>Un homme un vrai</em> des frères <strong>Larrieu </strong>(2003) et de <em>France Boutique </em>de <strong>Tonie Marshall</strong> (2003). En 2004, elle revient médiatiquement sur son combat contre le cancer qu'elle a vaincu. En 2006, elle se lance dans la réalisation d'un premier film avec le réussi <em>Mademoiselle Y</em>, dans lequel elle évoque le métier d'actrice et propose une réflexion pertinente sur son métier.Cette même année, elle décroche le rôle-titre de Mafiosa, une production télévisée à succès créée et financée par Canal+, qui diffuse actuellement sur son antenne la quatrième saison.Mais cette présence sur le petit écran (déjà assumée avec notamment des rôles dans <em>&nbsp;Les Rois Maudits</em> ou <em>Sous les vents de Neptune</em>) ne la fait pas pour autant délaisser le grand. Ainsi, <strong>Hélène </strong>poursuit une belle carrière au cinéma avec Lady Chatterley de <strong>Pascale Ferran</strong> (César du meilleur film en 2007), <em>La Grande Vie</em> d'<strong>Emmanuel Salinger</strong> (2009), <em>Pièce Montée</em> de <strong>Denys Granier-Deferre</strong> (2012), ou <em>Les Yeux de sa Mère</em> de <strong>Thierry Klifa</strong> (2011). 2011 marque aussi sa rupture avec l'acteur <strong>Thierry Neuvic</strong> qui partageait sa vie depuis quelques années et accessoirement le générique de <em>Mafiosa</em>. Mais cette déception amoureuse n'a pas d'influence sur sa carrière qui continue de s'envoler.Ainsi, nous la retrouverons dès le 4 avril au générique de <em>Low Life</em> de <strong>Nicolas Klotz</strong> (un film qui met en lumière les problèmes de la jeunesse et de l'immigration), ainsi qu'à l'affiche de <em>A moi seule</em> de <strong>Frédéric Videau</strong> (l'histoire d'une jeune femme relâchée après des années de captivité pendant lesquelles son ravisseur a été le seul homme de sa vie). Mais le projet le plus alléchant d'<strong>Hélène </strong>est indéniablement le film Les Adorés, qu'elle vient de réaliser et qui est adapté du roman <em>Sévère </em>de Régis Jauffret (lui-même inspiré d'un terrible fait divers qui avait vu un banquier suisse être assassiné à bout portant par sa maîtresse lors d'une relation sado-masochiste). Au générique de ce film très attendu et que nous pourrions retrouver sur les marches de Cannes le mois prochain, <strong>Benoît Peolvoorde</strong> sera le banquier et <strong>Laetitia Casta</strong> sa maîtresse. Ça promet ! A ce rythme-là, on a hâte de voir ce qu'aura fait la très productive et brillante <strong>Hélène </strong>dans les 20 prochaines années... ?

Hélène Fillières, l'un des visages les plus mystérieux du cinéma français.

Hélène Fillières sera partout dans les semaines à venir...

Hélène Fillières, fraîche et fragile...

La classe d'Hélène Fillières.

La mystérieuse Hélène Fillières.

La grande Hélène Fillières

L'élégance d'Hélène Fillières.

La mystérieuse Hélène Fillières...

Une carrière déjà longue de 20 ans. Des rôles cultes à foison. Des films qui ne laissent pas indifférents. Et une actualité bouillante. Voici Hélène Fillières !Née le 1er mai 1972, Hélène Fillières fêtera ses 40 ans et ses deux décennies de carrière dans quelques jours.Après une carrière de mannequin, Hélène découvre la comédie devant la caméra de sa sœur, la scénariste et réalisatrice Sophie Fillières, qui l'a fait tourner dans ses premiers essais à l'adolescence.Son passé de modèle lui assure une allure féline et élégante qui fera merveille devant les caméras des cinéastes qu'elle rencontrera tout au long de son parcours. Ainsi, démarrée en 1992 devant la caméra de Jacques Doillon (pour Amoureuse), sa carrière démarre fort. Sa silhouette svelte et élancée, ainsi que son visage mystérieux, achèvent de séduire des cinéastes aussi réputés que Christian Pascal (Adultère Mode d'emploi), Pascal Bonitzer (Encore), Francis Girod (Passage à l'acte), Tonie Marshall (Vénus Beauté Institut) qui dviendra sa réalisatrice-fétiche, Cédric Klapisch (Peut-être) ou Danièle Thompson (La Bûche).En dehors de ses participations aux films de ces grands metteurs en scène, Hélène tourne avec sa sœur Sophie dans Grande Petite (1994) et Aïe (2000). Le nouveau millénaire ne freine pas la faim de tournages de la grande et belle brune qui met sous son charme de nombreux réalisatrices et réalisateurs. On la retrouve en effet à l'affiche de Un amour de femme de Sylvie Verheyde (2001), Bord de mer de Julie Lopes-Curval (2002), Au plus près du Paradis de Tonie Marshall (2002), Vendredi soir de Claire Denis (2002), Un homme un vrai des frères Larrieu (2003) et de France Boutique de Tonie Marshall (2003).En 2004, elle revient médiatiquement sur son combat contre le cancer qu'elle a vaincu. En 2006, elle se lance dans la réalisation d'un premier film avec le réussi Mademoiselle Y, dans lequel elle évoque le métier d'actrice et propose une réflexion pertinente sur son métier.Cette même année, elle décroche le rôle-titre de Mafiosa, une production télévisée à succès créée et financée par Canal+, qui diffuse actuellement sur son antenne la quatrième saison.Mais cette présence sur le petit écran (déjà assumée avec notamment des rôles dans  Les Rois Maudits ou Sous les vents de Neptune) ne la fait pas pour autant délaisser le grand. Ainsi, Hélène poursuit une belle carrière au cinéma avec Lady Chatterley de Pascale Ferran (César du meilleur film en 2007), La Grande Vie d'Emmanuel Salinger (2009), Pièce Montée de Denys Granier-Deferre (2012), ou Les Yeux de sa Mère de Thierry Klifa (2011).2011 marque aussi sa rupture avec l'acteur Thierry Neuvic qui partageait sa vie depuis quelques années et accessoirement le générique de Mafiosa. Mais cette déception amoureuse n'a pas d'influence sur sa carrière qui continue de s'envoler.Ainsi, nous la retrouverons dès le 4 avril au générique de Low Life de Nicolas Klotz (un film qui met en lumière les problèmes de la jeunesse et de l'immigration), ainsi qu'à l'affiche de A moi seule de Frédéric Videau (l'histoire d'une jeune femme relâchée après des années de captivité pendant lesquelles son ravisseur a été le seul homme de sa vie).Mais le projet le plus alléchant d'Hélène est indéniablement le film Les Adorés, qu'elle vient de réaliser et qui est adapté du roman Sévère de Régis Jauffret (lui-même inspiré d'un terrible fait divers qui avait vu un banquier suisse être assassiné à bout portant par sa maîtresse lors d'une relation sado-masochiste). Au générique de ce film très attendu et que nous pourrions retrouver sur les marches de Cannes le mois prochain, Benoît Peolvoorde sera le banquier et Laetitia Casta sa maîtresse. Ça promet !A ce rythme-là, on a hâte de voir ce qu'aura fait la très productive et brillante Hélène dans les 20 prochaines années...