Toutes les critiques de Je suis à toi

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Jeune prostitué argentin, Lucas se fait "adopter" sur Internet par Henry, un boulanger belge solitaire, qui en fait son apprenti et son amant. Mais le jeune homme se sent vite à l’étroit dans la boutique, dont la vendeuse, Audrey, ne le laisse pas insensible... David Lambert filme ce ménage à trois avec un sens de l’absurde typiquement belge et une cruauté teintée de grâce – les moments où l’énorme Henry chante et danse. Parfois trivial (le cinéaste n’édulcore pas les tristes scènes de sexe qui constituent le quotidien forcé de Lucas), le propos fait la part belle à des personnages attachants, quitte à les enfermer dans une certaine routine.

  2. Première
    par Christophe Narbonne

    Jeune prostitué argentin, Lucas se fait "adopter" sur Internet par Henry, un boulanger belge solitaire, qui en fait son apprenti et son amant. Mais le jeune homme se sent vite à l’étroit dans la boutique, dont la vendeuse, Audrey, ne le laisse pas insensible... David Lambert filme ce ménage à trois avec un sens de l’absurde typiquement belge et une cruauté teintée de grâce – les moments où l’énorme Henry chante et danse. Parfois trivial (le cinéaste n’édulcore pas les tristes scènes de sexe qui constituent le quotidien forcé de Lucas), le propos fait la part belle à des personnages attachants, quitte à les enfermer dans une certaine routine. 

Les critiques de la Presse

  1. Cinenews.be
    par Sophie Rizzi

    Le réalisateur belge nous livre un film intimiste sur la confusion des sentiments en abordant des sujets actuels tels que la prostitution, les réseaux sociaux et la solitude affective.

  2. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Le charme insolite de son film est subtilement renforcé par Nahuel ­Pérez Biscayart. Déjà fascinant dans Au fond des bois, de Benoit Jacquot, ce jeune acteur argentin, loin des canons de beauté classiques avec son corps frêle et ses yeux de chien battu, crève l'écran.

  3. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Le film sait être touchant dans être plombant, ce qui le rend particulièrement recommandable pour qui a envie de découvrir une œuvre sensible brassant des thèmes adultes avec talent.

  4. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Le charme insolite de son film est subtilement renforcé par Nahuel ­Pérez Biscayart. Déjà fascinant dans Au fond des bois, de Benoit Jacquot, ce jeune acteur argentin, loin des canons de beauté classiques avec son corps frêle et ses yeux de chien battu, crève l'écran. 

  5. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Le film sait être touchant dans être plombant, ce qui le rend particulièrement recommandable pour qui a envie de découvrir une œuvre sensible brassant des thèmes adultes avec talent.

  6. Libération
    par Gilles Renault

    Déjouant les poncifs avec à-propos (nulle trace d’homophobie, par exemple, dans la peinture sociale pourtant craquelée), le film s’autorise même quelques échappatoires inventives confirmant le potentiel du Wallon David Lambert.

  7. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    Le scénario n’évite pas certains passages obligés qui rappellent combien le cinéma belge est depuis deux décennies le plus bel ambassadeur d’un naturalisme social parfois empesé (...)

  8. Libération
    par Gilles Renault

    Déjouant les poncifs avec à-propos (nulle trace d’homophobie, par exemple, dans la peinture sociale pourtant craquelée), le film s’autorise même quelques échappatoires inventives confirmant le potentiel du Wallon David Lambert.

  9. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    Le scénario n’évite pas certains passages obligés qui rappellent combien le cinéma belge est depuis deux décennies le plus bel ambassadeur d’un naturalisme social parfois empesé (...)

  10. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    Les personnages tombent dans les stéréotypes et leur quête de l'amour perd de son intérêt, malgré une mise en scène d'une crudité rafraîchissante.

  11. Le Monde
    par Mathieu Macheret

    (...) la frontalité molle de la mise en scène et le peu d’alchimie d’un casting dépareillé font sombrer le film dans une forme glauque d’insistance.

  12. A voir à lire
    par François Bonini

    En l’état, Je suis à toi est plutôt pesant et peine à faire entendre une petite musique différente, englué qu’il est dans un scénario trop lâche.

  13. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    Les personnages tombent dans les stéréotypes et leur quête de l'amour perd de son intérêt, malgré une mise en scène d'une crudité rafraîchissante. 

  14. Le Monde
    par Mathieu Macheret

    (...) la frontalité molle de la mise en scène et le peu d’alchimie d’un casting dépareillé font sombrer le film dans une forme glauque d’insistance.

  15. A voir à lire
    par François Bonini

    En l’état, Je suis à toi est plutôt pesant et peine à faire entendre une petite musique différente, englué qu’il est dans un scénario trop lâche.