Toutes les critiques de Des Saumons dans le desert

Les critiques de Première

  1. Première
    par Gérard Delorme

    Avec une candeur qui confine à la niaiserie, Lasse Hallström relance la vieille théorie de la foi qui rend l’impossible possible. Un cheikh yéménite, amateur de pêche à la mouche, dépense des milliards pour installer une rivière artificielle dans le désert afin d’y élever des saumons. Mais les éléments de cette invraisemblable fiction sont trop hétérogènes pour s’agréger en une structure solide et, malgré toute la sympathie qu’inspirent Ewan McGregor et Emily Blunt, on ne croit pas une seconde à leur histoire d’amour contrariée

Les critiques de la Presse

  1. Public
    par La rédaction de Public

    Un scénario original, un couple d'acteurs attachant, une histoires d'amour charmante dans un cadre exotique... Une jolie romance qui a tout pour émouvoir notre coeur de midinette.

  2. Le JDD
    par Barbara Théate

    En lisant le pitch du nouveau film de Lasse Hallström, on n'était pas franchement prêt à mordre à l'hameçon. (...) Mais on se laisse vite séduire par l'humour so british et le petit grain de folie de cette fable vraiment rafraîchissante.

  3. CinémaTeaser
    par Constantin Lacombe

    Foutraque et inégale, une comédie dramatico-romantique charmante, portée par des acteurs impeccables.

  4. Voici
    par Ariane Valadié

    Le suspense n'est jamais insoutenable mais ce gentil mélo métaphorique est sympathique.

  5. Elle
    par Florence Ben Sadoun

    C'est un conte efficace et même souvent drôle. Alors pour finir en sushi ici ou égaré dans le désert yéménite, on peut mordre à l'hameçon de ces saumons.

  6. Nouvel Obs
    par Florence Raillard

    Cette adaptation un brin sirupeuse du best-seller de Paul Torday donne une bluette un peu dingue – où, comme l’aime Lasse Hallström, exotisme et monde moderne se côtoient –, heureusement relevée par une bonne dose d’humour anglais. Kristin Scott Thomas, en caricature de directrice de la communication du Premier ministre britannique, est réjouissante.

  7. Télérama
    par Frédéric Strauss

    La morale du conte n'est donc pas renversante (...). Mais il y a du charme dans la manière alerte dont Lasse Hallström organise ce cirque de toutes les ambitions, petites et grandes, bonnes ou mauvaises, politiques ou sentimentales. Croquées, toutes, avec une indulgence souriante.

  8. Critikat.com
    par Vincent Avenel

    Une comédie romantique pour laquelle il faut savoir se contenter du minimum syndical – et dommage pour les acteurs, qui méritaient sans doute mieux que ça.

  9. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Une bonne idée de comédie. Si celle-ci à tendance à virer au mélo (...) elle nous régale avec son casting jubilatoire.

  10. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Un mélo dont le sujet ne captive guère (...) McGrefor et Blunt offrent néanmoins une joli prestation.

  11. Télé 7 jours
    par Philippe Ross

    L’inégal Lasse Hallström adapte un roman de Paul Torday en délaissant sa verve satirique pour se concentrer sur l’idylle entre Ewan McGregor et Emily Blunt. Si l’alchimie fonctionne parfaitement entre ces deux-là, on ne peut en dire autant d’une intrigue bancale qui a tendance à laisser le spectateur sur le sable.

  12. Version Femina
    par Clara Géliot

    Plus mielleux que crédible, le film a quand même le mérite de mettre en lumière le charme d'Ewan McGregor, la douceur d'Emily Blunt et le jeu plein d'humour de Kristin Scott Thomas.

  13. Le Figaro
    par Jean-Luc Wachthausen

    Dans ce film paresseux et brouillon, les caturs font le maximum, mais eux non plus, ils n'ont pas l'air d'y croire.

  14. Le Parisien
    par Hubert Lizé

    Malgré un zeste d'humour british et une interprétation charmante des deux tourtereaux Ewan McGregor et Emily Blunt, cette histoire d'amour platounette peine à nous faire frétiller.

  15. Le Monde
    par Aureliano Tonet

    Cousues de bons sentiments et de rebondissements grotesques, les ficelles de cette comédie romantique sont un peu trop voyantes pour que le spectateur se laisse prendre aussi naïvement.