Toutes les critiques de La Vie en Grand

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Chef opérateur recherché (on lui doit la photo sophistiquée de "Sur mes lèvres" et d’"Intouchables"), Mathieu Vadepied signe un premier long métrage en forme de conte urbain. Soit l’histoire d’Adama, collégien capable mais démotivé auquel des fonctionnaires responsables donnent une deuxième chance. Saura-t-il en profiter et éviter le piège de l’argent facile que procure le deal de shit ? Nulle trace de cynisme dans ce film à thèse, qui fait l’éloge de la République. Manichéen, certes, angélique, sûrement, mais aussi porteur d’espoir.

Les critiques de la Presse

  1. Le Monde
    par Franck Nouchi

    Le film le plus espiègle et charmant qu’il nous ait été donné de voir à Cannes durant cette quinzaine.

  2. Critikat.com
    par La rédaction de Critikat

    Le diable est donc dans les détails et, sous ses airs irréprochables (c’est à ce statut qu’aspire continuellement le petit Adama pour mener à bien son entreprise de vente), "La Vie en grand" place en son cœur le parfum sulfureux de la liberté et de l’allégresse.

  3. Critikat.com
    par Gabriel Adjerad

    Le diable est donc dans les détails et, sous ses airs irréprochables (c’est à ce statut qu’aspire continuellement le petit Adama pour mener à bien son entreprise de vente), "La Vie en grand" place en son cœur le parfum sulfureux de la liberté et de l’allégresse.

  4. Les Inrocks
    par Serge Kaganski

    (...) le film peut sembler banal, mais il est réalisé avec une légèreté, un naturel, une justesse, une bienveillance qui sont tous sauf banals.

  5. Les Inrocks
    par Serge Kaganski

    le film peut sembler banal, mais il est réalisé avec une légèreté, un naturel, une justesse, une bienveillance qui sont tous sauf banals. 

  6. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Le charme du duo que forment Balamine Guirassy et Ali Bidanessy et la vivacité avec laquelle est conduit le récit font passer ces maladresses, les transforment même en atouts pour ce film qui s’évertue avec énergie et désinvolture à renverser les lieux communs pesant sur les évocations des périphéries et de leurs habitants.

  7. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Le charme du duo que forment Balamine Guirassy et Ali Bidanessy et la vivacité avec laquelle est conduit le récit font passer ces maladresses, les transforment même en atouts pour ce film qui s’évertue avec énergie et désinvolture à renverser les lieux communs pesant sur les évocations des périphéries et de leurs habitants. 

  8. Metro
    par Mehdi Omaïs

    Bien qu’il y soit question du poids du déterminisme social, le scénario insiste sur la notion d’espoir. De la lumière, il y en a au-dessus de chaque personnage et c’est ce qui rend cette expérience optimiste.

  9. Metro
    par Mehdi Omaïs

    Bien qu’il y soit question du poids du déterminisme social, le scénario insiste sur la notion d’espoir. De la lumière, il y en a au-dessus de chaque personnage et c’est ce qui rend cette expérience optimiste. 

  10. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    A Stains, le tournage s'est passé comme dans du beurre. A Cannes, cette agréable comédie a fait fondre la salle.

  11. Le Figaro
    par Nathalie Simon

    Une tendre comédie sociale.

  12. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Son regard sur la banlieue échappe à toute facilité condescendante. Mais son parti pris d'un cinéma qui cherche à apaiser dans la lignée de celui de ses producteurs Nakache et Tolédano, constitue la limité du film. 

  13. Le JDD
    par Alexis Campion

    Prenant le parti d’un mélange détonant de réalisme et de fantaisie, cette comédie sociale emmêle la vraisemblance et la fiction de façon troublante, presque dérangeante quand elle frise les clichés.

  14. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Son regard sur la banlieue échappe à toute facilité condescendante. Mais son parti pris d'un cinéma qui cherche à apaiser dans la lignée de celui de ses producteurs Nakache et Tolédano, constitue la limité du film.

  15. Télérama
    par Bruno Icher

    L'addition est un peu lourde, comme souvent dans les feel good movies, pour le deuxième long métrage de Mathieu Vadepied qui carbure à un optimisme forcé, prenant constamment le risque de déraper dans une leçon de vie illusoire, aux antipodes d'un naturalisme dont il se réclame pourtant.

  16. Nouvel Obs
    par La rédaction de Nouvel Obs

    (....) les deux petits antihéros, âgés de 14 et 11 ans, sont si justes, naturels, bravaches et touchants qu'on est vite conquis.

  17. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    (...) les deux petits antihéros, âgés de 14 et 11 ans, sont si justes, naturels, bravaches et touchants qu'on est vite conquis. 

  18. Libération
    par Didier Péron

    Feel good movie qui ne casse pas trois pattes à un canard, "la Vie en grand" ne s’embarrasse pas trop de vraisemblances.

  19. Télérama
    par Bruno Icher

    L'addition est un peu lourde, comme souvent dans les feel good movies, pour le deuxième long métrage de Mathieu Vadepied qui carbure à un optimisme forcé, prenant constamment le risque de déraper dans une leçon de vie illusoire, aux antipodes d'un naturalisme dont il se réclame pourtant.