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PHOTOS - Cannes 2014 : Marion Cotillard, princesse d'une montée des marches très glamour

Alors que The Search, de Michel Hazanavicius, avec Bérénice Bejo, a connu sa montée des marches hier soir en compétition dans le cadre du 67e Festival de Cannes, un autre film, présenté hors-compétition cette fois, a aussi fait l'actualité sur la Croisette.En effet, le cinéaste français André Téchiné présentait hier sa nouvelle réalisation - L'homme qu'on aimait trop - et il a pu compter sur tout son prestigieux casting pour soutenir ce film, avec notamment la grande Catherine Deneuve (habituée aux festivités cannoises), le séduisant Guillaume Canet (qui a présenté ici même l'année dernière son Blood Ties) et la charmante Adèle Haenel (César du meilleur second rôle cette année pour Suzanne).Tout ce petit monde était très complice lors de cette montée des marches très glamour à laquelle a également assisté une magnifique Marion Cotillard - en compétition avec Deux jours, une nuit des frères Dardenne -, et qui était présente pour soutenir son mari, Guillaume, père de son fils Marcel.Dans une robe sublime, débordant d'allure, Marion s'est littéralement imposée comme la princesse de Cannes.L'histoire de L'homme qu'on aimait trop : 1976. Après l’échec de son mariage, Agnès Le Roux rentre d’Afrique et retrouve sa mère, Renée, propriétaire du casino Le Palais de la Méditerranée à Nice. La jeune femme tombe amoureuse de l’homme de confiance de Renée, Maurice Agnelet, un avocat de dix ans son aîné. Maurice a d’autres liaisons. Agnès l’aime à la folie. Actionnaire du Palais de la Méditerranée, Agnès veut vendre sa part de l’héritage familial pour voler de ses propres ailes. Une partie truquée siphonne les caisses de la salle de jeux. On menace Renée. Derrière ces manœuvres guerrières plane l’ombre de la mafia et de Fratoni le patron du casino concurrent qui veut prendre le contrôle du Palais de la Méditerranée. Tombé en disgrâce auprès de Renée, Maurice met en relation Agnès avec Fratoni qui lui offre trois millions de francs pour qu’elle vote contre sa mère. Agnès accepte le marché. Renée perd le contrôle du casino. Agnès supporte mal sa propre trahison. Maurice s’éloigne. Après une tentative de suicide, la jeune femme disparaît à la Toussaint 1977. On ne retrouvera jamais son corps. Trente ans après, Maurice Agnelet demeure l’éternel suspect de ce crime sans preuve ni cadavre. Convaincue de sa culpabilité, Renée se bat pour qu’il soit condamné.La bande-annonce de L'homme qu'on aimait trop, en salles le 16 juillet :