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PHOTOS - Etoiles d’or du cinéma : le palmarès de la 12ème édition en images

Béatrice Rosen

Leila Bekhti (révélation féminine pour Tout ce qui brille)

<strong>Et si la presse cinéma remettait ses trophées, ça donnerait quoi ? <strong>Eric Elmosnino</strong> qui fait le show, et <em>Tout ce qui brille</em> cartonne.</strong>Mine de rien, la cérémonie des Etoiles d?or du cinéma français en est à sa douzième édition. A la différence des autres remises de trophées, les Etoiles sont décernées grâce au vote des journalistes cinéma -cette année, ce sont plus de 450 d?entre eux qui ont exprimé leur suffrage. Alors, au vu de la liste des nommés (Beauvois et ses moines, Polanski, Gainsbourg, mais aussi Belle épine ou Vénus noire), allait-on avoir des surprises ou bien la confirmation des succès 2010 ?La cérémonie, qui se déroulait au cinéma Gaumont Marignan sur les Champs-Elysées, avait pour présidente <strong>Sylvie Testud</strong>, qui a reconnu dans les journalistes le seul public à voir à peu près tous les films. <em>Tout ce qui brille</em> a encore cartonné : Meilleur premier film, et <strong>Leïla Bekhti</strong>, récompensée comme Révélation féminine. Le trophée de la révélation masculine a été remis à Eric Elmosnino, qui s?est étonné : <em>"Il n?y a pas de limite d?âge ?"</em> (le comédien est âgé de 47 ans). Elmosnino a également obtenu le prix du Meilleur acteur, ex æquo avec <strong>Gérard Depardieu </strong>pour Mammuth. Ce qui lui a fait remarquer que les Etoiles d?or allaient vite : <em>"Révélation, puis Meilleur acteur? A la fin de la cérémonie, on va rendre hommage à ma carrière?".</em> Ensuite, <strong>Sara Forestier</strong> reçoit le trophée de la Meilleure actrice pour son rôle dans Le Nom des gens ?et voilà Elmosnino qui revient sur scène, car on lui avait donné le trophée féminin par erreur. Sara le salue : <em>"Eric, bravo pour le brushing. C?est la première fois que je te vois coiffé, ça fait bizarre"</em>. Après un hommage à <strong>Annie Girardot</strong>, <strong>Jean-Pierre Marielle</strong> (la classe incarnée, il serre la main à tout le monde y compris à l?agent de sécurité), est remis à <strong>Bertrand Blier</strong> le prix du Meilleur scénario pour Le Bruit des glaçons. En recevant le prix, Blier est revenu sur la genèse du film et a fait le surpris : <em>"Le scénario a été très facile à écrire. Ce qui a été moins facile, c?est de trouver le pognon, il a fallu un an? Mais l?écriture et le tournage, ça a été vite torché !"</em>. Et le réalisateur de saluer <strong>Sara Forestier</strong> comme la talentueuse relève du cinéma français. Enfin, et sans véritable surprise, <strong>Roman Polanski</strong> a été distingué comme Meilleur réalisateur, et Des hommes et des dieux de <strong>Xavier Beauvois</strong> a été reconnu Meilleur film. Bref, un palmarès tout à fait dans la continuité de celui des César 2011, et, au-delà, la reconnaissance des succès français où public et critiques se sont souvent rejoints.<strong>Le palmarès complet :</strong><strong>Meilleur film</strong><em>Des hommes et des dieux de</em> <strong>Xavier Beauvois</strong><strong>Meilleur réalisateur</strong><strong>Roman Polanski</strong> pour The ghost writer<strong>Meilleur scénario</strong><strong>Bertrand Blier</strong> pour <em>Le bruit des glaçons</em><strong>Meilleur premier film</strong><em> Tout ce qui brille </em>de <strong>Géraldine Nakache et Hervé Mimran</strong><strong>Meilleur documentaire</strong>Benda Bilili<strong> </strong>de <strong>Renaud Barret</strong>, Florent de La Tullaye<strong>Premier rôle féminin</strong><strong>Sara Forestier</strong> dans <em>Le Nom des gens</em><strong>Premier rôle masculin</strong> <strong>Gérard Depardieu</strong> dans <em>Mammuth</em> ex aequo avec <strong>Eric Elmosnino</strong> dans Gainsgourg (vie héroïque)<strong>Révélation masculine</strong><strong>Eric Elmosnino</strong> dans Gainsgourg (vie héroïque)<strong>Révélation féminine</strong><strong>Leila Bekhti</strong> dans <em>Tout ce qui brille</em><strong>Meilleur compositeur de musique originale de films</strong><strong>Alexandre Desplat</strong> pour <em>The ghost writer</em><strong>Meilleur producteur de films</strong>Pascal Caucheteux - Why not productions<strong>Meilleur distributeur de films</strong>Ex aequo : Mars Distribution et Wild Bunch Distribution

Eric Elmosnino (meilleur acteur et révélation masculine pour Gainsbourg)

Jalil Lespert et Sonia Rolland

La 12ème Cérémonie des Etoiles d'Or du Cinéma

<strong>Et si la presse cinéma remettait ses trophées, ça donnerait quoi ? <strong>Eric Elmosnino</strong> qui fait le show, et <em>Tout ce qui brille</em> cartonne.</strong>Mine de rien, la cérémonie des Etoiles d?or du cinéma français en est à sa douzième édition. A la différence des autres remises de trophées, les Etoiles sont décernées grâce au vote des journalistes cinéma -cette année, ce sont plus de 450 d?entre eux qui ont exprimé leur suffrage. Alors, au vu de la liste des nommés (Beauvois et ses moines, Polanski, Gainsbourg, mais aussi Belle épine ou Vénus noire), allait-on avoir des surprises ou bien la confirmation des succès 2010 ?La cérémonie, qui se déroulait au cinéma Gaumont Marignan sur les Champs-Elysées, avait pour présidente <strong>Sylvie Testud</strong>, qui a reconnu dans les journalistes le seul public à voir à peu près tous les films. <em>Tout ce qui brille</em> a encore cartonné : Meilleur premier film, et <strong>Leïla Bekhti</strong>, récompensée comme Révélation féminine. Le trophée de la révélation masculine a été remis à Eric Elmosnino, qui s?est étonné : <em>"Il n?y a pas de limite d?âge ?"</em> (le comédien est âgé de 47 ans). Elmosnino a également obtenu le prix du Meilleur acteur, ex æquo avec <strong>Gérard Depardieu </strong>pour Mammuth. Ce qui lui a fait remarquer que les Etoiles d?or allaient vite : <em>"Révélation, puis Meilleur acteur? A la fin de la cérémonie, on va rendre hommage à ma carrière?".</em> Ensuite, <strong>Sara Forestier</strong> reçoit le trophée de la Meilleure actrice pour son rôle dans Le Nom des gens ?et voilà Elmosnino qui revient sur scène, car on lui avait donné le trophée féminin par erreur. Sara le salue : <em>"Eric, bravo pour le brushing. C?est la première fois que je te vois coiffé, ça fait bizarre"</em>. Après un hommage à <strong>Annie Girardot</strong>, <strong>Jean-Pierre Marielle</strong> (la classe incarnée, il serre la main à tout le monde y compris à l?agent de sécurité), est remis à <strong>Bertrand Blier</strong> le prix du Meilleur scénario pour Le Bruit des glaçons. En recevant le prix, Blier est revenu sur la genèse du film et a fait le surpris : <em>"Le scénario a été très facile à écrire. Ce qui a été moins facile, c?est de trouver le pognon, il a fallu un an? Mais l?écriture et le tournage, ça a été vite torché !"</em>. Et le réalisateur de saluer <strong>Sara Forestier</strong> comme la talentueuse relève du cinéma français. Enfin, et sans véritable surprise, <strong>Roman Polanski</strong> a été distingué comme Meilleur réalisateur, et Des hommes et des dieux de <strong>Xavier Beauvois</strong> a été reconnu Meilleur film. Bref, un palmarès tout à fait dans la continuité de celui des César 2011, et, au-delà, la reconnaissance des succès français où public et critiques se sont souvent rejoints.<strong>Le palmarès complet :</strong><strong>Meilleur film</strong><em>Des hommes et des dieux de</em> <strong>Xavier Beauvois</strong><strong>Meilleur réalisateur</strong><strong>Roman Polanski</strong> pour The ghost writer<strong>Meilleur scénario</strong><strong>Bertrand Blier</strong> pour <em>Le bruit des glaçons</em><strong>Meilleur premier film</strong><em> Tout ce qui brille </em>de <strong>Géraldine Nakache et Hervé Mimran</strong><strong>Meilleur documentaire</strong>Benda Bilili<strong> </strong>de <strong>Renaud Barret</strong>, Florent de La Tullaye<strong>Premier rôle féminin</strong><strong>Sara Forestier</strong> dans <em>Le Nom des gens</em><strong>Premier rôle masculin</strong> <strong>Gérard Depardieu</strong> dans <em>Mammuth</em> ex aequo avec <strong>Eric Elmosnino</strong> dans Gainsgourg (vie héroïque)<strong>Révélation masculine</strong><strong>Eric Elmosnino</strong> dans Gainsgourg (vie héroïque)<strong>Révélation féminine</strong><strong>Leila Bekhti</strong> dans <em>Tout ce qui brille</em><strong>Meilleur compositeur de musique originale de films</strong><strong>Alexandre Desplat</strong> pour <em>The ghost writer</em><strong>Meilleur producteur de films</strong>Pascal Caucheteux - Why not productions<strong>Meilleur distributeur de films</strong>Ex aequo : Mars Distribution et Wild Bunch Distribution

Sophie Guillemin

Bertrand Blier

Sylvie Testud et Julien Boisselier

Ont été récompensés lors de cette soirée

<strong>Et si la presse cinéma remettait ses trophées, ça donnerait quoi ? <strong>Eric Elmosnino</strong> qui fait le show, et <em>Tout ce qui brille</em> cartonne.</strong><strong>Et si la presse cinéma remettait ses trophées, ça donnerait quoi ? <strong>Eric Elmosnino</strong> qui fait le show, et <em>Tout ce qui brille</em> cartonne.</strong>Mine de rien, la cérémonie des Etoiles d?or du cinéma français en est à sa douzième édition. A la différence des autres remises de trophées, les Etoiles sont décernées grâce au vote des journalistes cinéma -cette année, ce sont plus de 450 d?entre eux qui ont exprimé leur suffrage. Alors, au vu de la liste des nommés (Beauvois et ses moines, Polanski, Gainsbourg, mais aussi Belle épine ou Vénus noire), allait-on avoir des surprises ou bien la confirmation des succès 2010 ?La cérémonie, qui se déroulait au cinéma Gaumont Marignan sur les Champs-Elysées, avait pour présidente <strong>Sylvie Testud</strong>, qui a reconnu dans les journalistes le seul public à voir à peu près tous les films. <em>Tout ce qui brille</em> a encore cartonné : Meilleur premier film, et <strong>Leïla Bekhti</strong>, récompensée comme Révélation féminine. Le trophée de la révélation masculine a été remis à Eric Elmosnino, qui s?est étonné : <em>"Il n?y a pas de limite d?âge ?"</em> (le comédien est âgé de 47 ans). Elmosnino a également obtenu le prix du Meilleur acteur, ex æquo avec <strong>Gérard Depardieu </strong>pour Mammuth. Ce qui lui a fait remarquer que les Etoiles d?or allaient vite : <em>"Révélation, puis Meilleur acteur? A la fin de la cérémonie, on va rendre hommage à ma carrière?".</em> Ensuite, <strong>Sara Forestier</strong> reçoit le trophée de la Meilleure actrice pour son rôle dans Le Nom des gens ?et voilà Elmosnino qui revient sur scène, car on lui avait donné le trophée féminin par erreur. Sara le salue : <em>"Eric, bravo pour le brushing. C?est la première fois que je te vois coiffé, ça fait bizarre"</em>. Après un hommage à <strong>Annie Girardot</strong>, <strong>Jean-Pierre Marielle</strong> (la classe incarnée, il serre la main à tout le monde y compris à l?agent de sécurité), est remis à <strong>Bertrand Blier</strong> le prix du Meilleur scénario pour Le Bruit des glaçons. En recevant le prix, Blier est revenu sur la genèse du film et a fait le surpris : <em>"Le scénario a été très facile à écrire. Ce qui a été moins facile, c?est de trouver le pognon, il a fallu un an? Mais l?écriture et le tournage, ça a été vite torché !"</em>. Et le réalisateur de saluer <strong>Sara Forestier</strong> comme la talentueuse relève du cinéma français. Enfin, et sans véritable surprise, <strong>Roman Polanski</strong> a été distingué comme Meilleur réalisateur, et Des hommes et des dieux de <strong>Xavier Beauvois</strong> a été reconnu Meilleur film. Bref, un palmarès tout à fait dans la continuité de celui des César 2011, et, au-delà, la reconnaissance des succès français où public et critiques se sont souvent rejoints.<strong>Le palmarès complet :</strong><strong>Meilleur film</strong><em>Des hommes et des dieux de</em> <strong>Xavier Beauvois</strong><strong>Meilleur réalisateur</strong><strong>Roman Polanski</strong> pour The ghost writer<strong>Meilleur scénario</strong><strong>Bertrand Blier</strong> pour <em>Le bruit des glaçons</em><strong>Meilleur premier film</strong><em> Tout ce qui brille </em>de <strong>Géraldine Nakache et Hervé Mimran</strong><strong>Meilleur documentaire</strong>Benda Bilili<strong> </strong>de <strong>Renaud Barret</strong>, Florent de La Tullaye<strong>Premier rôle féminin</strong><strong>Sara Forestier</strong> dans <em>Le Nom des gens</em><strong>Premier rôle masculin</strong> <strong>Gérard Depardieu</strong> dans <em>Mammuth</em> ex aequo avec <strong>Eric Elmosnino</strong> dans Gainsgourg (vie héroïque)<strong>Révélation masculine</strong><strong>Eric Elmosnino</strong> dans Gainsgourg (vie héroïque)<strong>Révélation féminine</strong><strong>Leila Bekhti</strong> dans <em>Tout ce qui brille</em><strong>Meilleur compositeur de musique originale de films</strong><strong>Alexandre Desplat</strong> pour <em>The ghost writer</em><strong>Meilleur producteur de films</strong>Pascal Caucheteux - Why not productions<strong>Meilleur distributeur de films</strong>Ex aequo : Mars Distribution et Wild Bunch Distribution

Sara Forestier (meilleure actrice pour Le noms des gens)

S'est déroulée hier soir sur les Champs-Elysées

<strong>Et si la presse cinéma remettait ses trophées, ça donnerait quoi ? <strong>Eric Elmosnino</strong> qui fait le show, et <em>Tout ce qui brille</em> cartonne.</strong>Mine de rien, la cérémonie des Etoiles d?or du cinéma français en est à sa douzième édition. A la différence des autres remises de trophées, les Etoiles sont décernées grâce au vote des journalistes cinéma -cette année, ce sont plus de 450 d?entre eux qui ont exprimé leur suffrage. Alors, au vu de la liste des nommés (Beauvois et ses moines, Polanski, Gainsbourg, mais aussi Belle épine ou Vénus noire), allait-on avoir des surprises ou bien la confirmation des succès 2010 ?La cérémonie, qui se déroulait au cinéma Gaumont Marignan sur les Champs-Elysées, avait pour présidente <strong>Sylvie Testud</strong>, qui a reconnu dans les journalistes le seul public à voir à peu près tous les films. <em>Tout ce qui brille</em> a encore cartonné : Meilleur premier film, et <strong>Leïla Bekhti</strong>, récompensée comme Révélation féminine. Le trophée de la révélation masculine a été remis à Eric Elmosnino, qui s?est étonné : <em>"Il n?y a pas de limite d?âge ?"</em> (le comédien est âgé de 47 ans). Elmosnino a également obtenu le prix du Meilleur acteur, ex æquo avec <strong>Gérard Depardieu </strong>pour Mammuth. Ce qui lui a fait remarquer que les Etoiles d?or allaient vite : <em>"Révélation, puis Meilleur acteur? A la fin de la cérémonie, on va rendre hommage à ma carrière?".</em> Ensuite, <strong>Sara Forestier</strong> reçoit le trophée de la Meilleure actrice pour son rôle dans Le Nom des gens ?et voilà Elmosnino qui revient sur scène, car on lui avait donné le trophée féminin par erreur. Sara le salue : <em>"Eric, bravo pour le brushing. C?est la première fois que je te vois coiffé, ça fait bizarre"</em>. Après un hommage à <strong>Annie Girardot</strong>, <strong>Jean-Pierre Marielle</strong> (la classe incarnée, il serre la main à tout le monde y compris à l?agent de sécurité), est remis à <strong>Bertrand Blier</strong> le prix du Meilleur scénario pour Le Bruit des glaçons. En recevant le prix, Blier est revenu sur la genèse du film et a fait le surpris : <em>"Le scénario a été très facile à écrire. Ce qui a été moins facile, c?est de trouver le pognon, il a fallu un an? Mais l?écriture et le tournage, ça a été vite torché !"</em>. Et le réalisateur de saluer <strong>Sara Forestier</strong> comme la talentueuse relève du cinéma français. Enfin, et sans véritable surprise, <strong>Roman Polanski</strong> a été distingué comme Meilleur réalisateur, et Des hommes et des dieux de <strong>Xavier Beauvois</strong> a été reconnu Meilleur film. Bref, un palmarès tout à fait dans la continuité de celui des César 2011, et, au-delà, la reconnaissance des succès français où public et critiques se sont souvent rejoints.<strong>Le palmarès complet :</strong><strong>Meilleur film</strong><em>Des hommes et des dieux de</em> <strong>Xavier Beauvois</strong><strong>Meilleur réalisateur</strong><strong>Roman Polanski</strong> pour The ghost writer<strong>Meilleur scénario</strong><strong>Bertrand Blier</strong> pour <em>Le bruit des glaçons</em><strong>Meilleur premier film</strong><em> Tout ce qui brille </em>de <strong>Géraldine Nakache et Hervé Mimran</strong><strong>Meilleur documentaire</strong>Benda Bilili<strong> </strong>de <strong>Renaud Barret</strong>, Florent de La Tullaye<strong>Premier rôle féminin</strong><strong>Sara Forestier</strong> dans <em>Le Nom des gens</em><strong>Premier rôle masculin</strong> <strong>Gérard Depardieu</strong> dans <em>Mammuth</em> ex aequo avec <strong>Eric Elmosnino</strong> dans Gainsgourg (vie héroïque)<strong>Révélation masculine</strong><strong>Eric Elmosnino</strong> dans Gainsgourg (vie héroïque)<strong>Révélation féminine</strong><strong>Leila Bekhti</strong> dans <em>Tout ce qui brille</em><strong>Meilleur compositeur de musique originale de films</strong><strong>Alexandre Desplat</strong> pour <em>The ghost writer</em><strong>Meilleur producteur de films</strong>Pascal Caucheteux - Why not productions<strong>Meilleur distributeur de films</strong>Ex aequo : Mars Distribution et Wild Bunch Distribution

Quelques photos en bonus, Jean-Pierre Marielle et son épouse

Jimmy Jean-Louis

Présidée par Sylvie Testud

<strong>Et si la presse cinéma remettait ses trophées, ça donnerait quoi ? <strong>Eric Elmosnino</strong> qui fait le show, et <em>Tout ce qui brille</em> cartonne.</strong>Mine de rien, la cérémonie des Etoiles d?or du cinéma français en est à sa douzième édition. A la différence des autres remises de trophées, les Etoiles sont décernées grâce au vote des journalistes cinéma -cette année, ce sont plus de 450 d?entre eux qui ont exprimé leur suffrage. Alors, au vu de la liste des nommés (Beauvois et ses moines, Polanski, Gainsbourg, mais aussi Belle épine ou Vénus noire), allait-on avoir des surprises ou bien la confirmation des succès 2010 ?La cérémonie, qui se déroulait au cinéma Gaumont Marignan sur les Champs-Elysées, avait pour présidente <strong>Sylvie Testud</strong>, qui a reconnu dans les journalistes le seul public à voir à peu près tous les films. <em>Tout ce qui brille</em> a encore cartonné : Meilleur premier film, et <strong>Leïla Bekhti</strong>, récompensée comme Révélation féminine. Le trophée de la révélation masculine a été remis à Eric Elmosnino, qui s?est étonné : <em>"Il n?y a pas de limite d?âge ?"</em> (le comédien est âgé de 47 ans). Elmosnino a également obtenu le prix du Meilleur acteur, ex æquo avec <strong>Gérard Depardieu </strong>pour Mammuth. Ce qui lui a fait remarquer que les Etoiles d?or allaient vite : <em>"Révélation, puis Meilleur acteur? A la fin de la cérémonie, on va rendre hommage à ma carrière?".</em> Ensuite, <strong>Sara Forestier</strong> reçoit le trophée de la Meilleure actrice pour son rôle dans Le Nom des gens ?et voilà Elmosnino qui revient sur scène, car on lui avait donné le trophée féminin par erreur. Sara le salue : <em>"Eric, bravo pour le brushing. C?est la première fois que je te vois coiffé, ça fait bizarre"</em>. Après un hommage à <strong>Annie Girardot</strong>, <strong>Jean-Pierre Marielle</strong> (la classe incarnée, il serre la main à tout le monde y compris à l?agent de sécurité), est remis à <strong>Bertrand Blier</strong> le prix du Meilleur scénario pour Le Bruit des glaçons. En recevant le prix, Blier est revenu sur la genèse du film et a fait le surpris : <em>"Le scénario a été très facile à écrire. Ce qui a été moins facile, c?est de trouver le pognon, il a fallu un an? Mais l?écriture et le tournage, ça a été vite torché !"</em>. Et le réalisateur de saluer <strong>Sara Forestier</strong> comme la talentueuse relève du cinéma français. Enfin, et sans véritable surprise, <strong>Roman Polanski</strong> a été distingué comme Meilleur réalisateur, et Des hommes et des dieux de <strong>Xavier Beauvois</strong> a été reconnu Meilleur film. Bref, un palmarès tout à fait dans la continuité de celui des César 2011, et, au-delà, la reconnaissance des succès français où public et critiques se sont souvent rejoints.<strong>Le palmarès complet :</strong><strong>Meilleur film</strong><em>Des hommes et des dieux de</em> <strong>Xavier Beauvois</strong><strong>Meilleur réalisateur</strong><strong>Roman Polanski</strong> pour The ghost writer<strong>Meilleur scénario</strong><strong>Bertrand Blier</strong> pour <em>Le bruit des glaçons</em><strong>Meilleur premier film</strong><em> Tout ce qui brille </em>de <strong>Géraldine Nakache et Hervé Mimran</strong><strong>Meilleur documentaire</strong>Benda Bilili<strong> </strong>de <strong>Renaud Barret</strong>, Florent de La Tullaye<strong>Premier rôle féminin</strong><strong>Sara Forestier</strong> dans <em>Le Nom des gens</em><strong>Premier rôle masculin</strong> <strong>Gérard Depardieu</strong> dans <em>Mammuth</em> ex aequo avec <strong>Eric Elmosnino</strong> dans Gainsgourg (vie héroïque)<strong>Révélation masculine</strong><strong>Eric Elmosnino</strong> dans Gainsgourg (vie héroïque)<strong>Révélation féminine</strong><strong>Leila Bekhti</strong> dans <em>Tout ce qui brille</em><strong>Meilleur compositeur de musique originale de films</strong><strong>Alexandre Desplat</strong> pour <em>The ghost writer</em><strong>Meilleur producteur de films</strong>Pascal Caucheteux - Why not productions<strong>Meilleur distributeur de films</strong>Ex aequo : Mars Distribution et Wild Bunch Distribution

Mélanie Bernier

Yahima Torres

Bertrand Blier (meilleur scénario pour Le bruit des glaçons)

Alysson Paradis

Et si la presse cinéma remettait ses trophées, ça donnerait quoi ? Eric Elmosnino qui fait le show, et Tout ce qui brille cartonne.Mine de rien, la cérémonie des Etoiles d’or du cinéma français en est à sa douzième édition. A la différence des autres remises de trophées, les Etoiles sont décernées grâce au vote des journalistes cinéma -cette année, ce sont plus de 450 d’entre eux qui ont exprimé leur suffrage. Alors, au vu de la liste des nommés (Beauvois et ses moines, Polanski, Gainsbourg, mais aussi Belle épine ou Vénus noire), allait-on avoir des surprises ou bien la confirmation des succès 2010 ?La cérémonie, qui se déroulait au cinéma Gaumont Marignan sur les Champs-Elysées, avait pour présidente Sylvie Testud, qui a reconnu dans les journalistes le seul public à voir à peu près tous les films. Tout ce qui brille a encore cartonné : Meilleur premier film, et Leïla Bekhti, récompensée comme Révélation féminine. Le trophée de la révélation masculine a été remis à Eric Elmosnino, qui s’est étonné : "Il n’y a pas de limite d’âge ?" (le comédien est âgé de 47 ans). Elmosnino a également obtenu le prix du Meilleur acteur, ex æquo avec Gérard Depardieu pour Mammuth. Ce qui lui a fait remarquer que les Etoiles d’or allaient vite : "Révélation, puis Meilleur acteur… A la fin de la cérémonie, on va rendre hommage à ma carrière…". Ensuite, Sara Forestier reçoit le trophée de la Meilleure actrice pour son rôle dans Le Nom des gens –et voilà Elmosnino qui revient sur scène, car on lui avait donné le trophée féminin par erreur. Sara le salue : "Eric, bravo pour le brushing. C’est la première fois que je te vois coiffé, ça fait bizarre". Après un hommage à Annie Girardot, Jean-Pierre Marielle (la classe incarnée, il serre la main à tout le monde y compris à l’agent de sécurité), est remis à Bertrand Blier le prix du Meilleur scénario pour Le Bruit des glaçons. En recevant le prix, Blier est revenu sur la genèse du film et a fait le surpris : "Le scénario a été très facile à écrire. Ce qui a été moins facile, c’est de trouver le pognon, il a fallu un an… Mais l’écriture et le tournage, ça a été vite torché !". Et le réalisateur de saluer Sara Forestier comme la talentueuse relève du cinéma français. Enfin, et sans véritable surprise, Roman Polanski a été distingué comme Meilleur réalisateur, et Des hommes et des dieux de Xavier Beauvois a été reconnu Meilleur film. Bref, un palmarès tout à fait dans la continuité de celui des César 2011, et, au-delà, la reconnaissance des succès français où public et critiques se sont souvent rejoints.Le palmarès complet :Meilleur filmDes hommes et des dieux de Xavier BeauvoisMeilleur réalisateurRoman Polanski pour The ghost writerMeilleur scénarioBertrand Blier pour Le bruit des glaçonsMeilleur premier film Tout ce qui brille de Géraldine Nakache et Hervé MimranMeilleur documentaireBenda Bilili de Renaud Barret, Florent de La TullayePremier rôle fémininSara Forestier dans Le Nom des gensPremier rôle masculinGérard Depardieu dans Mammuthex aequo avecEric Elmosnino dans Gainsgourg (vie héroïque)Révélation masculineEric Elmosnino dans Gainsgourg (vie héroïque)Révélation féminineLeila Bekhti dans Tout ce qui brilleMeilleur compositeur de musique originale de filmsAlexandre Desplat pour The ghost writerMeilleur producteur de filmsPascal Caucheteux - Why not productionsMeilleur distributeur de filmsEx aequo : Mars Distribution et Wild Bunch Distribution