Lewis Hamilton a dû refuser à contrecoeur un rôle dans Top Gun : Maverick
Vanity Fair/Paramount

Ami avec Tom Cruise, le pilote de F1 aurait adoré tourner dans cette suite. Il se rattrapera finalement avec un autre blockbuster de Joseph Kosinski...

Lewis Hamilton est actuellement en couverture de Vanity Fair, et le champion de Formule 1 fait quelques révélations dans les pages du magazine. Proche de Tom Cruise (la star hollywoodienne a d'ailleurs fêté son 60e anniversaire au Grand Prix de Grande-Bretagne), le pilote aurait adoré tenir un petit rôle dans Top Gun : Maverick, le film d'action qui a cartonné cette année au cinéma en cumulant 1,3 milliard de recettes à travers le monde.

"Quand j'ai entendu qu'ils faisaient un n°2, je me suis dit : 'Oh, mon Dieu ! Il faut que je lui demande.'" Il a alors appelé Tom Cruise pour lui dire : "Peu importe le rôle, je me glisserai même en figurant, pour jouer un balayeur en arrière-plan." La star du film a immédiatement accepté et lui a proposé le rôle de l'un des jeunes pilotes d'avions de chasse du film, mais quelques mois plus tard, Lewis Hamilton s'est vu au regret de refuser son offre. Pour ce sportif qui se définit lui-même comme un "perfectionniste", impossible de diviser son temps pour pouvoir à la fois tourner dans Top Gun 2 et préparer les courses finales de la saison de F1. Appeler Tom Cruise et le réalisateur Joseph Kosinski pour leur annoncer "a été le coup de fil le plus déprimant de toute ma vie", reconnaît-il.

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Lewis Hamilton est cependant resté en bons termes avec le réalisateur, avec qui il travaille actuellement sur un autre projet de film. Un drame proposant de gigantesques scènes d'action, qui se déroulera dans l'univers des courses de Formule 1 et pour lequel Lewis Hamilton donne des conseils de professionnel. Apple a acheté ses droits de diffusion en début d'année, et l'on sait aussi que Brad Pitt doit y jouer un ancien champion de F1 formant un jeune pilote. Lewis sera consultant sur ce projet, et peut-être y jouera-t-il aussi un rôle devant la caméra ? A Vanity Fair, il précise seulement avoir un droit de regard sur le scénario, "car les Américains qui sont en train de le concevoir découvrent tout juste la Formule 1".

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