Toutes les critiques de Trois fois 20 ans

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Comédie du remariage, 3 Fois 20 ans dévide les codes du genre, en montrant deux personnes faites l’une pour l’autre qui s’éloignent pour mieux se retrouver. L’intérêt du film réside surtout dans son casting international. Aux côtés d’Isabella Rossellini et de William Hurt, qui campent de sexy sexagénaires, Arta Dobroshi (Le Silence de Lorna), Joanna Lumley
    (de la série Absolutely Fabulous), et Doreen Mantle donnent un coup de fouet bienvenu à cette réflexion sur l’âge et ce que l’on en fait.

Les critiques de la Presse

  1. A voir à lire
    par Sébastien Schreurs

    Julie Gavras s’interroge avec délicatesse et légèreté sur la difficulté d’aimer une personne éternellement, à l’orée du troisième âge. C’est avec beaucoup de plaisir que l’on retrouve l’acteur de premier plan d’alors William Hurt, qui forme un bien joli couple avec l’ancienne icône de beauté Isabella Rossellini.

  2. Nouvel Obs
    par Marie-Elisabeth Rouchy

    Architecte sexagénaire réputé et médaillé, Adam (William Hurt), pressé par son associé de construire une maison de retraite, se verrait plutôt gagner un concours branché avec ses jeunes collaborateurs. Sa femme Mary, traductrice à la retraite, mère et grand-mère accomplie, stresse à l’idée de bientôt faire partie de la catégorie seniors. Même angoisses mais réponses divergentes. Quand l’un fonce dans le jeunisme, la seconde s’évertue à pratiquer prématurément les codes du troisième âge. Isabella Rossellini se taille la part du lion dans le deuxième film de Julie Gavras ("la Faute à Fidel !"), proprement hilarante dans certaines scènes (une séance d’aquagym particulièrement horrifique), et bouleversante dans d’autres.

  3. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    l’espoire d’une comédie débridée fond comme organe sans viagra face à cette avalanche nullement excitante de personnages clichés, humour au déambulateur et facilités scénaristiques.

  4. par Julien Welter

une comédie douce, légère et joyeusement grinçante.

  • Télérama
    par Guillemette Odicino

    Si la comédie fonctionne c'est grâce à Isabella Rossellini : belle, facétieuse, comme amusée par ses propres rides, elle dégage une bonne humeur communicative. Mais le reste du film, atone, a une teinte nettement plus vermeille. Dommage...