Toutes les critiques de Quand on a 17 ans

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Cela commence comme Mes séances de lutte, de Jacques Doillon : un personnage des villes se confronte physiquement à un personnage des champs – en pleine montagne, Tom aide ses parents dans leur ferme isolée. Très vite, l’ambiguïté de leurs rapports ne fait aucun doute. Ces deux-là sont faits pour s’entendre mais ne savent l’exprimer autrement qu’à travers des corps-à-corps rugueux. Franche complicité ? Attirance? Téchiné, aidé de sa coscénariste, la réalisatrice Céline Sciamma (Bande de filles), avance subtilement masqué avant qu’un événement dramatique ne remette les choses à plat de façon grossière. A posteriori, certains personnages semblent avoir une fonction purement utilitaire et gâchent un peu la bonne impression laissée par le trio principal, formidablement incarné. 

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Eric Libiot

    Quand on a 17 ans est ce qu'il a fait de mieux depuis... Les Roseaux sauvages.

  2. Paris Match
    par Yannick Vely

     Il y a quelque chose de très beau, presque utopique dans la manière de ne jamais opposer les classes sociales, de montrer une communauté humaine qui s’entraide devant les difficultés de la vie.