Toutes les critiques de My Movie Project

Les critiques de Première

  1. Première
    par Mathieu Carratier

    Vingt stars (de Hugh Jackman à Naomi Watts, en passant par Halle Berry ou Richard Gere), une douzaine de sketches, une légende de la comédie US à la production (Peter Farrelly)... Et zéro rire dans cette anthologie plus tragique que trash, reniée par à peu près tous ses participants.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Fabrice Leclerc

    Alors, certes, tout n'est pas égal mais ce dîner homérique entre Hugh Jackman et Kate Winslet ou ces fausses pubs délirantes valent le détour. Prudes s'abstenir.

  2. Entertainment Weekly
    par Clark Collis

    Répugnant du début à la fin.

  3. Time Out
    par Joshua Rothkopf

    Vous n’imaginez pas à quel point le mauvais goût est fatigant.

  4. New York Times
    par Stephen Holden

    Une fois que le film vous aura amené au point culminant de désespoir, vous serez désabusé.

  5. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    Toutes les stars y figurant montrent un taux inhabituellement élevé d'autodérision, à commencer par un Hugh Jackman, arborant un drôle de menton, mais il est dommage que ce soit au service d'un scénario médiocre.

  6. Critikat.com
    par Benoît Smith

    Les producteurs de My Movie Project (dont Peter Farrelly, étrangement privé de son frère Bobby) ont déclaré viser « un Hamburger Film Sandwich des temps modernes », se référant à l’irrévérence redoutable (pour son époque) du film de John Landis plutôt qu’à sa cinéphilie. De fait, il est presque rassurant de voir de nouveau un film à sketches non animé par un sujet de dissertation tel qu’une ville (New York I Love You et consorts) ou une cause humanitaire (Les Enfants invisibles, 8, etc.), mais par un pur objectif : arracher au spectateur un rire étranglé par la gêne, offenser le bon goût et surtout cette pesante épée de Damoclès sur la culture américaine moderne, le politiquement correct. Presque rassurant, disions-nous, dans l’intention – mais assurément décevant dans son résultat.

  7. Ecran Large
    par Laurent Pécha

    La participation de tant d’acteurs reconnus et de talent à cet étron filmique reste un mystère quasi absolu. Le niveau zéro de l’humour à deux ou trois gags près.

  8. Les Inrocks
    par Léo Soesanto

    Réalisé entre autres par Peter Farrelly ou Brett Ratner, My Movie Project est forcément inégal dans ses attaques d’humour pipi-caca et ses guests pas toujours concernés. L’erreur a été de sortir en salle ces vignettes qui auraient été mieux accueillies sur le net ou à la télévision.

  9. Les Fiches du cinéma
    par Romain Tourbillon

    Une suite de sketchs de mauvais goût : incompréhensible sur la forme, souvent indigeste et rarement subversif sur le fond, un film aberrant de vulgarité stérile et gratuite.

  10. Chicago Reader
    par Ben Sachs

    Ce n’est pas seulement l’humour écœurant qui est offensant dans ce film, c’est surtout la paresse de la réalisation, on a l’impression que tous les plans sont des premières prises, sans parler du montage superflu qui exclue le style humoristique escompté.

  11. NewYorker
    par Richard Brody

    Ennuyeux à mourir, pas drôle, offensant, oppressant et maladroit.

  12. Washington Post
    par Michael O’Sullivan

    Le chef d’œuvre du mauvais goût.

  13. New York Times
    par David Edelstein

    Malgré la présence des frères Farrely, héros de cette comédie, « My movie project » fait office de film amateur.

  14. Toronto Star
    par Peter Howell

    La cadence des rires dépendra de chacun mais une chose est sûre, ce film regroupe un panel de talents gâchés.

  15. Hollywood Reporter
    par Frank Scheck

    Une exposition de grands acteurs ne suffit pas à palier au désastre absolu de ce long métrage composés de plusieurs courts métrages.

  16. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Une anthologie de 12 sketches trash, à l’humour de bassine débordant d’urine et d’excrément, de sexe et de stupre. Avec une pléiade de stars, toutes plus paumées les unes que les autres, compromises dans les affres de la vulgarité la plus crasse.