Toutes les critiques de Horsehead

Les critiques de Première

  1. Première
    par Joachim Cohen

    Une psychologue spécialisée dans l’interprétation des rêves est hantée par des cauchemars récurrents depuis l’enfance. Elle va tenter d’élucider le mystère lié au suicide de sa grand-mère psychotique. Ce thriller horrifique cumule les approximations en termes de récit et de direction d’acteurs, ne faisant hélas jamais oublier son côté fauché.

Les critiques de la Presse

  1. Critikat.com
    par Vincent Avenel

    Au fil de son récit, le réalisateur va délaisser les simples contingences narratives qui veulent que tout ait un début, une fin, une raison pour apparaître, préférant donner vie à des tableaux monstrueux, aussi brillants par leur qualité même que par l’illustration qu’ils proposent aux déviances cachées dans les profondeurs des histoires de famille.

  2. Clapmag.com
    par Carole Milleliri

    Si Basset peut donner l’impression de réciter sa leçon, il cherche donc aussi une singularité, pas toujours maîtrisée, mais bien affirmée. Proposition risquée dans son investissement passionné du genre, "Horsehead" a toute sa place dans un cinéma propice aux expérimentations (...)

  3. A voir à lire
    par Pierre Vedral

    Ce passeport pour un univers onirique captivant et viscéral, à la poésie palpable, opère son entreprise de séduction en dépit d’un équilibre narratif parfois précaire. Romain Basset mérite davantage de moyens pour mettre en oeuvre toutes ses ambitions. On lui souhaite la réussite pour qu’il puisse progresser dans un genre qui lui va si bien.

  4. Télérama
    par Blottière Mathilde

    Ce film d'horreur de Romain Basset regroupe les pires clichés avec un inébranlable sérieux. Une nouvelle fois exhumés, ce bon vieux Freud et sa psychanalyse des rêves se retrouvent au coeur d'une intrigue anorexique, mise en scène avec une grandiloquence kitsch.

  5. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Veillée mortuaire, animaux empaillés, héroïne qui bascule insidieusement dans la folie : tout y est. La fable métaphorique, quoique répétitive, s’avère hypnotique. Mais la mise en scène maniérée assimile ce film d’horreur à un gigantesque clip dont l’esthétisme reste la priorité.